Marseille

Guillaume, tu as bien raison, une fois!

Mais je le comprends l'ami GERETS... prendre un goal hors-jeu au bout de septante-trois minutes... y'a bien de quoi s'énerver!!!

-----------

M'enfin, pour en revenir au sujet, de tels propos sont démesurés... à chaud ses paroles ont dépassé ses pensées, enfin j'espère pour lui sinon c'est grave...

Quand on repense aux ennuis d'Anatoine KOMBOUARÉ l'an passé pour beaucoup moins "trash" que ça...

C'est honteux comme propos, mais bien sur la commission de discipline va fermer les yeux parce que c'est l'Ohaimeu, je n'aurais pas donner cher de la peau de Gillot si il avait tenus les meme propos, encore pire pour Kombouaré...Bref, il doit y avoir une sanction!!

tu serai pas un peu parano?

Non du tout... Donc alors, ces propos n'ont rien de grave, c'est tout a fait normal de dire sa, je me trompe?

franchement j'ai vu l'interview et il dit ça pas de façon agressif et il dit bien que c'est pas grave pour le but refusé à cause du hors jeu pour moi rien de bien méchant

Football.fr a écrit:

OM: Les supporters menacent de tuer 8 Madrilènes...

Etranges révélations publiées ce lundi soir dans les colonnes de Marca... Selon le quotidien espagnol, de nombreux supporters de l'Olympique de Marseille auraient envoyé un e-mail de menaces aux associations de leurs homologues de l'Atlético Madrid, dans lequel il est question d'assassiner huit supporters des Colchoneros, le mardi 9 décembre prochain, lorsque l'OM accueillera le club rojiblanco, dans le cadre de la 6e journée de phase de poules de Ligue des Champions. Huit, comme le nombre d'années de prison requis contre Santos Mirasierra, le supporter de l'OM toujours détenu en prison, à Madrid...

j'espère sincèrement que c'est une connerie!

publié dans un journal espagnol!a mon avis c'est des conneries..

Franchement, publier ce genre de chose dans la presse c'est inadmissible!

c'est inadmissible

Effroyable tout ça!!!

www.om.net[/mention] a écrit:

SANTOS LIBERE SOUS CAUTION !

Le recours déposé ce mardi par l'avocat de Santos a été accepté. La juge a donné son feu vert à sa libération sous caution !

Santos Mirasierra, condamné vendredi à 3 ans et demi de prison, a été remis en liberté sous caution par la justice espagnole, juste avant le match OM-Atlético Madrid.
Plus tôt dans la journée, l'avocat du supporter avait fait appel du jugement et avait présenté une demande de remise en liberté simple ou sous caution. Ce recours a été accepté un peu avant 16h00 par la justice espagnole.

Une bonne nouvelle pour Santos, ses proches, mais aussi pour toute la famille olympienne.

Fin ?

Politique???

Bon en fait le monsieur n'est libre qu'en attente de l'examen de l'appel sur la peine de 3 ans de prison.

Mais c'est déjà pas mal.

En tout cas, ça a désamorcé les tensions pour le match de ce soir!

Ligue 1 - Ziani est reparti
Eurosport - sam, 27 déc 10:38:00 2008

Après une première saison difficile, Karim Ziani a retrouvé des couleurs et fait désormais partie des joueurs qui comptent à l'Olympique de Marseille. L'été dernier, on ne donnait pourtant pas cher de ses chances. Mais Eric Gerets l'a relancé. Et le joueur a changé.

Plus d'infosL1 : Tops et Flops
L1 : Classements
Quel mercato pour l'OM ?
Stade de la Beaujoire. 19 mars 2008. A la mi-temps d'une rencontre qui va s'inscrire dans la grande histoire de la Coupe de France, Eric Gerets passe un savon à Karim Ziani. L'OM est en train de se faire balader par Carquefou, pensionnaire de CFA2 (1-0). Le milieu de terrain marseillais est dans l'oeil du cyclone et fait l'erreur de se rebeller. Le ton monte. Les deux hommes s'accrochent. Karim Ziani paiera les pots cassés et sera mis à pied durant dix jours par la direction de l'Olympique de Marseille à la suite de l'incident. En difficulté depuis son arrivée à l'été 2007, l'ancien Sochalien est au fond du gouffre. Et son avenir marseillais s'inscrit en pointillés.

Neuf mois plus tard, la roue a tourné. Karim Ziani est resté au club. Et a terminé la première moitié du championnat 2008/2009 en boulet de canon. Même si l'OM a conclu l'année sur une note négative et une défaite au Vélodrome face à Nancy (0-3), l'international algérien ne peut-être que satisfait de sa première moitié de saison. "J'ai de bonnes sensations depuis le début de la saison, confirme-t-il dans les colonnes d'OM Mag. Il en est de même pour l'équipe. J'en suis heureux même si je regrette que nous n'ayons pas pu prendre quelques points de plus ces dernières semaines. Mais globalement et avec le recul, j'ai de quoi être très satisfait."

"Karim, tu n'as rien à perdre"

C'était pourtant loin d'être gagné. Second rôle au coeur d'un milieu de terrain surchargé, Karim Ziani a finalement convaincu tout le monde. Eric Gerets en tête. Nullement rancunier, l'entraîneur phocéen a tenu à lui redonner une deuxième chance. Et le Belge n'a pas été déçu. Dès la préparation estivale, l'entraîneur de l'OM a senti que son joueur avait changé. Une blessure à la cuisse a bien ralenti l'international algérien. Mais elle n'a rien remis en cause. Et Ziani a enfin explosé. Comment ? Le joueur a fait l'effort pour revenir, montrer que la donne n'était plus la même. Le staff olympien lui a fait sentir qu'il comptait sur lui. Karim Ziani avait donc tout à gagner.

"A la fin du dernier championnat, je suis allé en Algérie pendant un mois environ pour disputer des matches avec la sélection. Cela m'a fait le plus grand bien car tout s'est très bien passé. J'ai pensé à autre chose. Quand je suis revenu, mon état d'esprit était simple. Je me suis dit : Karim, tu n'as rien à perdre. Au contraire, tu as tout à gagner ! Je suis convaincu d'avoir vécu le pire la saison passée. Aussi, je ne pouvais pas aller encore plus bas." Le Marseillais ne s'était pas trompé. Aligné à quinze reprises en championnat, auteur de 2 buts, Ziani est aujourd'hui comme un poisson dans l'eau. Carquefou ? Ziani a oublié.

Maxime DUPUIS / Eurosport
Envoyer

Pape Diouf est venu présenter Brandao à la Commanderie, mercredi en fin d'après-midi. Le président de l'OM reconnaît que les "négociations n'ont pas toujours été simples" avec le Shakhtar Donestk. Mais le club ukrainien a finalement cédé son attaquant qui rêve de remporter le Championnat de France.

Plus d'infosBrandao débarque
L'actu de l'OM
L1 : Classements
BRANDAO, vous avez un signé un contrat de trois et demi en faveur de l'OM. Pourquoi avoir choisi Marseille plutôt qu'un retour au Brésil par exemple ?

B. : Mes parents m'ont conseillé de rester en Europe dans un grand club. Et Marseille est un grand club avec beaucoup de supporters. Ils donnent tout pendant quatre-vingt dix minutes. Moi aussi. Je pense que vais bien entendre avec eux Je m'identifie en tout cas déjà aux supporters.

Comment avez-vous vécu votre transfert à l'OM ?

B. : Je suis très heureux d'être à Marseille. Tout le monde m'a bien très bien accueilli. Je fais donc partie de la famille de l'Olympique de Marseille.

Vous avez effectué votre premier entraînement avec l'OM mercredi après-midi. Pensez-vous pouvoir jouer samedi face au Havre ?

B. : Non, je ne pourrai pas jouer. Je ne suis pas encore en condition physique pour le faire. Je reviens du Brésil où j'ai passé vingt-cinq jours de vacances. J'ai besoin d'au moins une semaine pour revenir à un bon état de forme. Et aussi pouvoir m'adapter à mes coéquipiers. Mais les choses vont venir naturellement.

Quelles sont vos qualités principales ?

B. : Je suis un guerrier sur le terrain ! Je donne le maximum pour l'équipe.

Quels sont vos objectifs avec Marseille cette saison ?

B. : Je suis là pour marquer des buts rapidement. Moi, je veux gagner le championnat avec l'OM !

De notre correspondant à Marseille, Vincent BANTIT / Eurospo

L'OM ne perd pas le rythme. Brandao mercredi, Wiltord jeudi : les arrivées se succèdent à la Commanderie. Le désormais ex-Rennais s'est engagé pour "au moins six mois à Marseille" (dixit Pape Diouf). "Le terrain et la compétition me manquent", explique ainsi l'ancien buteur d'Arsenal.

Plus d'infosL1 : Classements
Brandao : "Gagner le championnat"
SYLVAIN WILTORD, votre arrivée à l'OM a surpris les observateurs. Pourquoi avoir choisi de rebondir à Marseille ?

S.W : Sans parler de revanche, j'avais envie retrouver les vestiaires, le terrain, les copains, un groupe. Tout ça pour prendre à nouveau un maximum de plaisir. J'ai parlé avec le coach et je crois que tout le monde est au courant que Marseille a des objectifs. Et puis Lyon est un peu moins bien cette année. Je ne sais pas si c'est la bonne année, mais Marseille n'est pas très loin de la première place... Gagner des titres en tant que joueur, c'est toujours motivant. Il y a également la Coupe de France et un match qui s'annonce très intéressant contre Lyon. Avec son effectif, l'OM peut aller chercher des titres.

Justement, l'effectif de l'OM est bien garni offensivement avec Brandao, Niang, Valbuena, Ben Arfa, Ziani ou encore Zenden. Ne craignez-vous pas cette concurrence ?

S.W : Je pense que l'émulation est nécessaire dans un groupe. Vous savez, à Lyon il y avait 20 internationaux, même chose à Arsenal. La concurrence était sévère mais saine. Moi, j'arrive à l'OM avec un peu de retard sur les autres joueurs, mais je vais me battre à l'entraînement pour essayer de changer la donne auprès du coach. En tout cas, je suis venu ici pour apporter tout ce que je sais faire.

Vous n'avez pas beaucoup joué avec Rennes depuis le début de la saison. Où en êtes-vous physiquement ?

S.W : Ça va. Je manque seulement de compétition. Les tests physiques réalisés à Rennes étaient très bons. Tout va bien. Je n'ai aucun pépin physique. C'est facile car je ne jouais pas beaucoup (rires). Si ça se passe bien, il y aura la récompense...

Si le coach fait appel à vous samedi, vous pourriez répondre présent ?

S.W : S'il le décide, c'est avec un grand plaisir que je dirais oui. Ça me manque de jouer des matches car j'aime le foot et la compétition. Rien ne vaut un match avec son ambiance, les victoires et le moins de défaites possibles.

Les supporters n'ont pas oublié vos passages à Bordeaux et à Lyon notamment. A quel accueil vous attendez-vous ?

S.W : Ça, on verra bien. Ils vont peut-être oublier si j'apporte quelque chose à l'OM sur le terrain. C'est à moi de changer la donne. Mais j'ai hâte de découvrir le Vélodrome. Dans tous les stades de France, que l'OM soit aimé ou détesté, il y a toujours un petit quelque chose. Et en tant que footballeur, c'est que du bonheur. J'ai eu la chance de passer par Lyon, le club le plus titré. Maintenant, je passe par Marseille, le club le plus aimé en France. Pour un joueur, c'est magnifique.

L'OM, c'est un club très particulier. Avez-vous hésité avant de vous engager avec Marseille ?

S.W : Non, pas du tout. Moi, ce qui m'intéresse, c'est ce qui se passe dans les vestiaires, sur le terrain. Pas tout ce qu'il y a autour. Je ne lis pas trop la presse de toutes façons... Mais je sais qu'à Marseille, beaucoup de joueur sont arrivés et repartis aussitôt après sans vraiment d'explication. L'exigence du public peut être une pression pour les joueurs. Mais Arsenal et à Lyon, il y avait aussi du monde...

Comment allez-vous faire partager votre expérience du très haut niveau aux jeunes de l'OM ?

S.W : Je ne connais pas beaucoup les jeunes joueurs de l'OM mis à part Hatem (Ben Arfa). Je l'ai vu grandir le petit et ça va me faire plaisir de le retrouver. Donc même si je ne joue pas, je peux apporter cette joie de vivre dans les vestiaires. Et je peux aider les attaquants, en leur parlant par exemple. S'ils sont en manque de confiance, on peut aussi travailler des phases de jeu spécifiques après les entraînements. Il faut toujours travailler quand on est attaquant. C'est un poste particulier.

Regrettez-vous de ne pas avoir réussi à vous être imposé à Rennes ?

S.W : C'était délicat là-bas. Je suis un compétiteur et, quand je ne joue pas, il me manque quelque chose. Ce petit truc qui fait que vous courrez derrière un ballon pendant des années. Je ne l'avais plus. Je regrette de n'avoir pu jouer plus avec Rennes car il y avait un super groupe et des supers gars. C'était parti pour être une belle histoire, mais c'est comme ça. C'est le foot. A Marseille, c'est une nouvelle histoire. Et je suis content d'y participer.

Aviez-vous d'autres pistes que l'OM ?

S.W : Oui. Et je peux vous dire que ça fait plaisir d'avoir autant de contacts alors que l'on ne joue plus avec son club. Si je n'ai pas répondu favorablement à ces clubs, c'est que j'attendais la bonne occasion, le bon challenge. Je suis vraiment soulagé d'avoir signé à l'OM.

Avez-vous reçu des offres du Qatar ?

S.W : J'aurais pu prendre une retraite dorée comme on dit. Mais j'en ai parlé autour de moi à Rennes et j'ai compris que j'avais encore du jus. Je le prouvais tous les jours à l'entraînement.

Pensez-vous pouvoir revenir un jour en équipe de France ?

S.W : Oui, toujours. J'adore cette équipe. En plus, il y a encore des anciens chez les Bleus. Mais ça passe par une bonne présence en club et des buts. A Marseille, on joue toujours le haut de tableau donc le sélectionneur aura un &oeligil sur moi. Mais il ne faut pas se voiler la face car il y a une nouvelle génération qui arrive. Mais l'équipe de France reste dans un petit coin de ma tête...

De notre correspondant à Marseille, Vincent BANTIT / Eurospo

Ligue 1 - Niang bientôt de retour
Eurosport | mar 20 janv, 19:33
Mamadou Niang, victime début décembre d'une fracture au pied, va reprendre l'entraînement "dans les jours qui suivent", selon Eric Gerets. L'entraineur de l'OM reste prudent en revanche sur la date du retour en forme du joueur.

"Il va reprendre dans les jours qui suivent. Cela ne veut pas dire qu'il va pouvoir taper dans un ballon. Pour cela, il ne doit plus sentir de douleur. Il faut aussi qu'il revienne en forme physiquement, ce qui va prendre un certain temps. Il est impossible de dire si ce sera une ou trois semaines", a déclaré Gerets devant la presse. L'international sénégalais est absent depuis le 6 décembre. Il avait été victime d'une fracture du premier métatarse du pied droit dans un choc avec le défenseur niçois Cédric Kanté.

Gerets devrait par ailleurs donner du temps de jeu à certains remplaçants ou joueurs en manque de rythme (dont les recrues Brandao et Wiltord) vendredi en match amical devant Cassis-Carnoux (National) à la Commanderie. L'attaquant Hatem Ben Arfa, au rendement insuffisant et remplaçant samedi, devrait en profiter. "Un bon Ben Arfa a toujours sa place dans l'équipe", a lancé Gerets, saluant au passage le retour en forme de Mathieu Valbuena, buteur samedi devant Le Havre et positionné désormais dans l'axe "où il a mis sa carte de visite" et d'où "il est délicat en ce moment de le mettre dehors".

Ligue 1 - Ben Arfa-Ziani, ça chauffe
Eurosport | lun 26 janv, 17:06
Les entraînements de l'OM sont toujours très animés Ce matin, c'est Hatem Ben Arfa et Karim Ziani qui en sont venus aux mains à la Commanderie.

Présent une nouvelle fois dans l'équipe des remplaçants, l'ancien Lyonnais a été sévèrement taclé par Ziani. Tout s'est alors enflammé. Ben Arfa et Ziani se sont retrouvés front contre front et se sont insultés en Arabe. Taye Taiwo a séparé les deux belligérants. Cet incident fait suite à celui ayant déjà opposé Hatem Ben Arfa à Dominique Cuperly il y a dix jours. Ces "coups de chaud" n'inquiètent pas pour autant Eric Gerets. "Quand ils s'attrapent, si ça reste dans le jeu, il n'y a pas de problème. Ça fait partie du métier. Et ça me fait rigoler", confie ainsi le coach marseillais.

Hatem n'est qu'un petit fouteur de mer*e qui est en train de planter tout bonnement sa carrière par son comportement inadmissible et inexcusable. Un enfant gâté de la balle, hyper individualiste (voire plus encore!) et inintéressant.

Franchement, quand il est arrivé sur le Canebière je me suis dit Aulas et sa clique ils sont fêlés de lâcher leur pépite... mais franchement la pépite n'était pas en or, encore moins en chocolat... mais en toc.

Tant que cette pseudo-starlette n'aura pas compris les fondamentaux d'un sport collectif et refusera de rentrer dans le moule, de jouer avec et pour ses coéquipiers et de se plier aux règles de vie de groupe etc, ça ne collera jamais.

Indésirable à Lyon puis transféré l'été dernier, dans le collimateur à Marseille dorénavant... et ensuite quelle carrière avec une étiquette aussi sulfureuse?

Ligue 1 - Zubar à l'infirmerie
Eurosport | jeu 29 janv, 18:54
Ronald Zubar, malmené mercredi à Gerland lors de la défaite marseillaise face à l'OL en coupe de France (1-0) souffre d'une petite élongation de l'adducteur gauche. Selon le staff médical phocéen, le défenseur central est incertain pour le déplacement à Sochaux.

Appel du supporteur marseillais Santos Mirasierra rejeté, nouveau recours
ven 06 fév, 09h21




AFP/Gérard Julienagrandir la photo
MADRID (AFP) - L'appel du jugement condamnant le supporteur de l'Olympique de Marseille Santos Mirasierra à trois ans et demi de prison pour des incidents avant un match de football à Madrid, a été rejeté mais un nouveau recours va être déposé, a annoncé jeudi son avocat à l'AFP.

Santos Mirasierra, supporteur Ultra du club de football français, condamné le 5 décembre 2008, avait été libéré sous caution le 10 décembre après avoir interjeté appel. Il était rentré en France le jour même, après plus de deux mois de détention provisoire à Madrid.

L'Audience provinciale de Madrid a rejeté mardi son appel, mais son avocat, Me Erlantz Ibarrondo Merino, a expliqué à l'AFP qu'il allait entamer une "procédure en nullité" contre ce jugement, probablement la semaine prochaine.

"Mon client a été condamné comme co-auteur de quelque chose sans qu'on explique ce qu'il a fait", a souligné Me Ibarrondo, rappelant que lors de son procès, le 3 décembre, il n'avait pas été prouvé matériellement que Mirasierra avait jeté la chaise ayant blessé un policier au visage. "La condamnation ne dit rien, seulement qu'il était présent" à ce moment-là.

La procédure en nullité est "un argument juridique, technique, et nous voulons prendre le temps de bien le préparer", a-t-il ajouté, soulignant que le délai pour déposer ce recours était de 20 jours.

"Nous allons avancer pas à pas. Si ça ne marche pas, nous pourrons toujours nous tourner vers le Tribunal constitutionnel", a-t-il assuré.

Dans l'hypothèse où la condamnation serait maintenue, l'avocat du supporteur a indiqué qu'il "(étudierait) les accords existant entre la France et l'Espagne" pour voir si son client pourrait purger sa peine en France.

Le supporteur marseillais a été condamné pour des incidents en marge d'un match de Ligue des champions entre l'Atletico Madrid et Marseille, le 1er octobre 2008, au stade Vicente-Calderon.

2 mois après, ont en parle encore...

Laissons tomber cette affaire qui de toute façon n'est qu'un fait divers pas très intéressant!

Ligue 1 - Gerets : "Ce n'est pas fini"
Eurosport - lun, 23 févr 10:22:00 2009

Après la défaite face à Twente, Marseille a signé un match nul face au Mans au Vélodrome (0-0). Eric Gerets refuse pourtant de dramatiser. Pour lui, l'OM a raté un bon coup pour s'emparer de la 2e place mais n'est pas hors-course pour le titre. Il croit aussi à la qualification en Coupe UEFA, jeudi.

Plus d'infosL'OM n'y est pas
Le film du match
ERIC GERETS, après la défaite face à Twente (0-1), comment expliquez-vous cette nouvelle désillusion à domicile ?

E.G : C'était défense contre attaque. On savait bien que l'adversaire n'allait pas changer sa manière de jouer, son organisation. Il n'y avait pas de surprise. On devait être capable de jouer un football très rapide, en une ou deux touches de balle. C'était quand même un peu difficile avec le vent fort, mais je ne veux pas utiliser cette excuse. Ce soir, même si nous n'avons pas eu beaucoup d'occasions de but, sur l'une ou l'autre on aurait pu faire mieux. En revanche, quand tu joues contre une équipe comme ça il faut garder un peu de calme. Car si tu te fais prendre sur un contre, ça pouvait faire goal. Ce sont des points perdus. Il y a donc beaucoup de regrets. Mais c'est la vie, parfois il faut accepter les choses, même si c'est difficile. Il faut avoir un peu de patience.

Est-ce que vos joueurs étaient fatigués après le match de jeudi ?

E.G : Non, je ne pense pas parce que l'on a essayé jusqu'à la fin de faire la différence. Ils se sont battus jusqu'au bout. Mais on a eu le sentiment qu'en première période, on a joué contre un mur. C'était probablement plus usant que la fatigue physique.

Ce n'est pas désolant pour vous de voir que votre équipe rate une nouvelle fois l'occasion de profiter des faux-pas de vos adversaires ?

E.G : Oui, mais c'est la vie. Ces points-là, on ne les pas. Il ne fait donc pas pleurer. Ça ne sert à rien. C'est toujours la même histoire. Il y a des autres équipes qui ont fait la même chose que nous. Qui ont eu même beaucoup de chance de marquer un goal à la fin (Bordeaux a égalisé à la 90e minute à Saint-Etienne 1-1, ndlr). On a raté un coup. Sur le moment, c'est important, mais ce n'est pas encore tout à fait fini.

Arrivez-vous à comprendre les hauts et les bas de votre équipe ?

E.G : Ça fait un an et demi que je suis avec ce groupe et je commence à le comprendre, oui

Pensiez-vous avoir autant de mal face à cette équipe du Mans ?

E.G : Non. (Il corrige). Heu, oui Bien sûr tu joues contre une équipe qui reste à huit joueurs derrière. C'est difficile mais tu penses avoir la qualité technique pour te procurer un peu plus d'occasions de but. Malheureusement, on n'a pas été capables de se créer beaucoup d'occasions de but. Maintenant, on a trois jours pour se préparer pour un match où tout n'est pas encore dit. L'adversaire est favori car contre Twente, l'OM n'a pas montré son meilleur visage. C'est toujours un peu dangereux de nous mettre dehors avant que le match retour ne soit joué. On n'est pas encore out. On vit des moments difficiles pour la deuxième fois en une semaine sur notre terrain. Mais on n'est pas encore morts

Et pour le titre de champion

E.G : (Il coupe). Pour le moment, il y a d'autres soucis que le titre Si tout se passe bien, c'est encore possible. Mais la situation devient de semaines en semaines de plus en plus délicate car Lyon ne fait pas de faux-pas. Vous savez, à une certaine époque, l'équipe aurait été capable de bouleverser un mur comme on a eu en face de nous. Mais pour le moment, nous avons un peu de difficulté. L'un ou l'autre cherche sa meilleure forme mais à la fin du championnat, on va peut-être revenir vite Il ne faut pas dramatiser. Ce n'était pas possible de gagner le match, mais d'un autre côté la vie continue. Et dans quatre jours, il y aura un autre match.

Avez-vous des nouvelles rassurantes à propos de Julien Rodriguez ?

E.G : Je ne sais pas, à mon avis, il sera out pour quelques temps.

De notre correspondant à Marseille, Vincent BANTIT / Eurospo