Rugby - Tournoi des VI Nations

FRANCE 43 - IRLANDE 34 (je sui mm plus sur, hé lol)

victoire de la france, qui fait oublié la défaite d'ecosse mais je trouve cette victo_re désolante parce que l'ont gagnés 43-3 et se faire ramener comme ca affraid

43-31 ben!

Mikros a écrit:: 43-31 ben!

ah c'est ca, gt pas loin

ben3001 a écrit:

Mikros a écrit:: 43-31 ben!

ah c'est ca, gt pas loin

Le principal, c'est que la france a gagné!!!

Dur dur sur la fin

Grippe aviaire: les coqs des supporteurs français indésirables à Cardiff

LONDRES (AFP) - mardi 21 février 2006 - Les coqs vivants que certains supporteurs de l'équipe de France de rugby aiment à emporter dans leurs déplacements à l'étranger seront indésirables lors du match Pays de Galles-France pour cause de grippe aviaire.
"Tout animal transporté en fraude représente un risque (...) on ne peut pas se le permettre. Il vaut mieux que les coqs restent en France", a estimé lundi le Dr Freda Scott-Park, présidente de l'association vétérinaire britannique.

La France doit rencontrer le Pays de Galles samedi 18 mars à Cardiff, à l'occasion de la dernière journée du Tournoi des six nations 2006.

Le directeur du stade du Millénaire, Paul Sergeant, a averti que des fouilles supplémentaires seraient pratiquées sur les supporteurs français avant la rencontre.

L'inquiétude envers une possible diffusion de l'épizootie de grippe aviaire s'est accrue au Royaume-Uni après la découverte d'un cas en France samedi. Aucun cas n'a été avéré en Grande-Bretagne à ce jour.

Mikros a écrit:: Grippe aviaire: les coqs des supporteurs français indésirables à Cardiff

LONDRES (AFP) - mardi 21 février 2006 - Les coqs vivants que certains supporteurs de l'équipe de France de rugby aiment à emporter dans leurs déplacements à l'étranger seront indésirables lors du match Pays de Galles-France pour cause de grippe aviaire.
"Tout animal transporté en fraude représente un risque (...) on ne peut pas se le permettre. Il vaut mieux que les coqs restent en France", a estimé lundi le Dr Freda Scott-Park, présidente de l'association vétérinaire britannique.

La France doit rencontrer le Pays de Galles samedi 18 mars à Cardiff, à l'occasion de la dernière journée du Tournoi des six nations 2006.

Le directeur du stade du Millénaire, Paul Sergeant, a averti que des fouilles supplémentaires seraient pratiquées sur les supporteurs français avant la rencontre.

L'inquiétude envers une possible diffusion de l'épizootie de grippe aviaire s'est accrue au Royaume-Uni après la découverte d'un cas en France samedi. Aucun cas n'a été avéré en Grande-Bretagne à ce jour.

Ca va devenir une vrai psychose .......Alors on devrait aussi tuer les pigeons ......Il y en a pas mal à Valenciennes et ils sont apprivoisés !!!!!!! Et dans les parcs publics .......... Rugby - Tournoi des VI Nations - Page 3 Rouge

Rugby - Tournoi des VI Nations - Page 3 Rouge

eh eh,samedi soir vous aurez des photos du match contre l'italie!!j'en ferais!! :king:

LES MATCHES DE LA 3E JOURNEE:
SAMEDI
France - Italie: 15h00
Ecosse - Angleterre: 18h30

DIMANCHE:
Irlande - Pays de Galles: 16h00

LES EQUIPES
FRANCE:
Castaignède (Saracens) - Rougerie (Clermont), Fritz (Stade Toulousain), Traille (Biarritz), Dominici (Stade Français) - (o) Michalak (Stade Toulousain), (m) Elissalde (Stade Toulousain) - Magne (London Irish/ANG), Th. Lièvremont (Biarritz), Nyanga (Stade Toulousain) - Pelous (Stade Toulousain, cap.), Thion (Biarritz) - De Villiers (Stade Français), Ibanez (Wasps), Milloud (Bourgoin).

Remplaçants: Bruno (Sale), Marconnet (Stade Français), Nallet (Castres), Bonnaire (Bourgoin), Yachvili (Biarritz), Marty (Perpignan), Heymans (Stade Toulousain)

ITALIE:
Stoica - Canavosio, Canale, Mi. Bergamasco, Nitoglia - (o) Pez, (m) Griffen - Ma. Bergamasco, Parisse, Sole - Bortolami (cap.), Del Fava - Nieto, Ongaro, Perugini.

Remplaçants: Festuccia, Lo Cicero, Castrogiovanni, Bernabo, Zanni, Picone, Galon.

A la mi-temps: 12-8 pour l'Italie affraid

Les français se reprennent !!!!OUF!!!! tongue

Victoire finale de la France 37-12 cheers

Mikros a écrit:: Victoire finale de la France 37-12

J'ai suivi le match !!!!!!! Je voulais te laisser l'honneur de nous l'apprendre !!!! Rugby - Tournoi des VI Nations - Page 3 Incline

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yes ! ils se sont bien repris !

photos a venir.....

C'était comment l'ambiance?
Beaucoup de sifflets, non?

Mikros a écrit:: C'était comment l'ambiance?
Beaucoup de sifflets, non?

petite ambiance je trouve!mais assez sympathique et champetre!!c'est ca que j'aime au rugby.
oui sur chaque pénalité italienne beaucoup de sifflet!!faut arreter tout ca sinon le charme du rugby partira et deviendra comme le foot!! stade plein a craquer!michalak aussi pas mal sifflet enfin bon..

Malmenée par l'Italie au Stade de France durant soixante minutes, la France a ensuite su accélérer et finir en trombe (37-12) son troisième match du Tournoi. Insuffisant pour rassurer des Bleus qui accueilleront les champions du monde anglais le 12 mars prochain.

Remake de France-Irlande

Le public du Stade de France a longtemps cru revivre lors de ce France-Italie la dernière demi-heure catastrophique des Bleus face à l'Irlande il y a quinze jours. Mais le XV tricolore a su, après une période et demie très laborieuse, se ressaisir et prendre enfin l'ascendant sur des Transalpins qui avaient longtemps, non seulement mené, mais eu la mainmise sur la rencontre.

Dès les premières minutes, les Bleus, qui évoluaient en l'occurrence en blanc, semblaient reprendre dans la continuité le match qu'ils avaient fini sur la même pelouse de Saint-Denis contre les Diables verts. C'est-à-dire avec une foule d'approximations mais surtout sans véritable tonus. Même la pénalité rapidement passée par Elissalde (3e) ne leur redonnait pas le moral. Frédéric Michalak, attendu plus encore que ses camarades en raison des sifflets qui avaient ponctué sa dernière prestation à Saint-Denis, manquait plusieurs de ses interventions et semblait tétanisé par l'angoisse de mal faire. C'était le cas d'ailleurs semble-t-il de l'ensemble des joueurs français. L'Italie, de son côté, ne se posait pas de questions. Dans la foulée de ses matches en Irlande et face à l'Angleterre, elle livrait une partie sérieuse et consistante. Pez, avec trois pénalités et un drop, concrétisait chacune des incursions de la Squadra qui virait à la pause avec un avantage comptable incontestable (12-8 ). Le seul éclair des hommes de Bernard Laporte (essai de Lièvremont sur passe au pied d'Elissalde, 26e) leur ayant permis de limiter la casse.

Réduite à 14, l'Italie craque

Le problème ne se solutionnait pas à la reprise et paraissaît un moment empirer quand Rougerie puis Traille commettaient exactement la même erreur à trente seconde d'écart, en tapant en ballon mort sur des pénaltouches. Une pénalité de Yachvili (45e), entré à la place d'Elissalde juste avant la mi-temps, blessé à l'arcade, ramenait la France à un point mais sans que la physionomie du match ait franchement varié. A l'heure de jeu, les joueurs de Pierre Berbizier fléchissaient physiquement. Castaignède, qui avait été l'un des seuls Bleus à surnager en première période, sortait alors de sa boîte. L'arrière des Saracens prenait le relais de Dominici, parti de son camp, perçait à son tour, fixait l'ultime défenseur et servait idéalement Nyanga (57e). C'était enfin le déclic attendu.

L'Italie ne développait plus de jeu et était à son tour envahie par le doute, à l'image de Pez contré par Yachvili. L'exclusion temporaire de Del Fava (63e) n'arrangeait rien. Les avants français se réveillaient et, après un premier porté derrière la ligne d'en but, mais non validé par l'arbitre, c'était le second qui faisait mouche dans la foulée (essai de De Villiers, 65e). Dès lors, les Français maintenaient leur pression et pour la première fois depuis le début du Tournoi, montraient de l'envie, enchaînaient les séquences comme à l'entraînement. Bref, on retrouvait l'équipe de l'automne 2005. La fin de match offrrait au public dyonisien deux derniers essais français aussi différents l'un que l'autre. Celui de Rougerie, à l'issue d'un temps de jeu de plus d'une minute et de la plus belle action collective du match, le ravissait (77e). Celui de Michalak (79e), sur pure action personnelle, lui faisait ravaler son sifflet.

Il reste au XV tricolore à poursuivre son redressement et à remplacer une carburation au diesel par du sans plomb. L'Angleterre, prochain adversaire sur sa route le dimanche 12 mars, encore au Stade de France, ne devrait pas lui laisser d'autre choix que de se lancer à fond d'entrée dans la bagarre. Les Anglais, battus pour la première fois du Tournoi à Murrayfield (12-18 ), ne sont jamais plus dangereux que vexés.