Lyon

Ligue 1 - Lloris a fait oublier Coupet
Eurosport - ven, 27 févr 14:29:00 2009

Arrivé l'été dernier à Lyon, Hugo Lloris n'a pas mis longtemps à prendre ses marques dans les buts lyonnais. La succession de Grégory Coupet n'était pourtant pas aisée. Mais force est de constater que l'ancien Niçois a réussi à s'installer. Reste l'équipe de France...

Plus d'infosLloris : "Ca s'est joué en 1re période"
Et l'OL a coincé...
Fred n'est plus lyonnais
26e j. : Programme
Le haut niveau a horreur du vide et de l'à peu près. Un départ ou une désaffection doivent toujours être compensés. Jean-Michel Aulas et le staff de l'Olympique de Lyonnais l'ont compris depuis bien longtemps. A chaque intersaison, le rituel est le même. Les dirigeants du champion de France s'évertuent à remplacer les partants par des arrivants d'aussi bonne qualité. Si ce n'est mieux. Les Rhodaniens savent y faire et personne ne dira le contraire.

L'été dernier, la mission n'était pourtant pas aisée. Grégory Coupet partant, l'Olympique Lyonnais devait remplacer celui qui a gardé, avec talent, les buts rhodaniens durant douze années. Pour suppléer le vieux lion, l'Olympique Lyonnais s'est tourné vers Nice et le gardien le plus prometteur du moment, Hugo Lloris. Steve Mandanda déjà pris par l'OM, l'international Espoirs apparaissait comme une évidence aux yeux de Bernard Lacombe et compagnie. Sur le papier. Restait à confirmer sur le terrain. Quelques mois plus tard, Lyon ne regrette pas les 8,5 millions d'euros dépensés pour celui qui est devenu entre-temps international A.

A l'image de son match face au FC Barcelone (1-1), mardi en Ligue des Champions, Hugo Lloris répond présent depuis le début de l'exercice 2008/2009. Solide sur sa ligne et aérien, le jeune Niçois (22 ans) n'a jamais été écrasé par le poids de la pression. Que ce soit face à Lorient ou au Bayern, le gardien fait ses matches. Sans jamais décevoir. La progression est linéaire et, pour le moment, sans accroc. "On suit une ligne directrice. On essaye d'aller de l'avant. Je suis venu ici pour progresser, assure-t-il sur le site de l'OL. Ici, tout est réuni pour que je progresse. Joël Bats en est fortement responsable." Après avoir été entouré par Bruno Valencony ou Lionel Letizi à Nice, Lloris a trouvé en Joël Bats (50 sélections en équipe de France) un autre tuteur de choix. Celui qui pourrait l'aider à aller encore plus haut.

La Lituanie en point de mire

Qui dit encore plus haut, dit évidemment équipe de France. Actuellement numéro 2 du poste derrière Steve Mandanda (Marseille), Hugo Lloris se rapproche petit à petit du Marseillais. Bon en club mais décevant avec les Bleus où il manque de confiance et d'autorité, Mandanda ne va pas pouvoir tenir longtemps si Lloris poursuit sur sa lancée et sort des matches comme celui de mardi face au Barça. C'est une évidence. Avant la double confrontation face à la Lituanie (28 mars - 1er avril), Raymond Domenech doit forcément se poser des questions, même s'il n'est pas un chaud partisan du mouvement chez les gardiens de but.

Et Hugo Lloris, qu'en pense-t-il ? "Je ne me pose vraiment pas cette question. Je ne raisonne pas comme ça. Je donne le maximum pour Lyon, pour mon club, explique-t-il un brin langue de bois. Je suis uniquement concentré que sur les objectifs du club. Maintenant je sais très bien qu'en étant bon et régulier, je me laisse des chances de figurer en équipe de France. Après il y a des choix comme je le répète souvent." La balle est dans les pieds du sélectionneur.

Maxime DUPUIS / Eurosport

Ligue 1 - Réveillère de retour ?
Eurosport | mar 3 mars, 09:18
Anthony Réveillère, dont la saison semblait terminée après une rupture des ligaments croisés du genou, pourrait rejouer avec l'OL. Contre l'avis du club, Le joueur n'a pas voulu être opéré et a compensé par de la musculation. Cela comporte un risque que Réveillère a décidé de prendre.

Lyon: Kader Keita devant la commission de discipline
mer 04 mar, 18h23




AFP/Philippe Merleagrandir la photo
PARIS (AFP) - L'attaquant lyonnais Kader Keita doit être entendu jeudi par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) pour un tacle sévère lors de Lyon-Le Havre (le 15 février), qui avait échappé à l'arbitre mais pas au comité de visionnage.

L'arbitre, Alain Hamer, n'avait donné aucune sanction, ni coup franc ni carton jaune ni rouge pour un tacle par derrière de l'Ivoirien sur le Havrais Loïc Nestor, sorti sur une civière. Le comité de visionnage s'était saisi de l'affaire.

Le jeune défenseur havrais et international Espoirs, Loïc Nestor, a été victime d'une rupture des ligaments croisés d'un genou sur l'action, et sa saison est terminée.

Le cas du Grenoblois Milivoje Vitakic, qui avait donné une gifle à Stéphane Sessegnon (Grenoble-Paris SG, le 21 février), non sanctionnée en match mais figurant dans le rapport de l'arbitre, Stéphane Lannoy, sera étudié jeudi 12 mars par la commission de discipline.

Par ailleurs le comité de visionnage a précisé à l'AFP n'avoir transmis aucun dossier à la commission de discipline après les matches de 26e journée de Ligue disputés ce week-end.

Ligue 1 - Incident Puel-Réveillère
Eurosport | jeu 5 mars, 19:50
Anthony Réveillère n'a pas participé à l'intégralité de l'entraînement de l'OL cet après-midi. Le latéral a été sèchement renvoyé au vestiaire par son coach. "Il y a simplement eu une petite altercation lors d'un jeu. Ça arrive de temps en temps" a nuancé Claude Puel.

Ligue 1 - Benzema : "Je suis inquiet"
Eurosport - dim, 08 mars 15:47:00 2009

La défaite face à Lille (2-0), la deuxième de la semaine, a laissé des traces à Lyon. Sorti à la pause, Karim Benzema est pessimiste quant à sa participation au choc à Barcelone, mercredi. Mais il assure que l'OL saura redresser la tête, que ce soit en championnat ou en Ligue des Champions.

Plus d'infosDe la fête au drame
Lyon a du souci à se faire
Le film du match
L1 : Classements
KARIM BENZEMA, vous êtes sorti à la pause face à Lille. Qu'en est-il ?

K.B. : J'ai repris un coup au même endroit au bout de dix-quinze minutes de jeu, ça m'a gêné. Je suis à la lutte avec Rami, je crois. Il me bouscule un peu, me retape un peu dedans (la hanche, ndlr), je tombe par terre et je retombe dessus. Ce sont des choses qui arrivent. J'ai demandé à sortir avant la mi-temps. Je suis resté jusqu'à la pause mais c'était impossible d'accélérer. Donc je ne sais pas si je vais jouer mercredi.

Etes-vous inquiet quant à votre participation au match à Barcelone ?

K.B. : Oui, je suis inquiet. C'est quand même un gros match. J'ai participé à pas mal de matches en Ligue des Champions et, si je devais renoncer, je serais très déçu. Mes chances de jouer le match ? Je ne sais pas, je ne veux pas donner un pourcentage.

On imagine que vous avez très envie de jouer ce match...

K.B. : Non, j'avais envie de le regarder à la télé (Rires)... Bien sûr ! Ce sont des matches à jouer. Je vais serrer les dents. Mais si j'ai des douleurs, je laisserai ma place à quelqu'un d'autre... Je n'ai pas envie de commencer le match et de sortir au bout de dix ou quinze minutes. Si j'ai mal comme (samedi soir), si je ne suis pas à 100 %, ça ne sert à rien. Je ne peux pas accélérer alors que mon jeu est fait d'accélérations et de prises de balles. Même si j'ai envie de jouer... J'espère que ça ira d'ici là.

Si vous jouez à Barcelone, faudrait-il quelqu'un pour vous épauler en attaque. C'était difficile seul en pointe en première période...

K.B. : Face à Lille, c'était un peu difficile. De toute façon, cette année, on joue le bloc défensif. Voilà. Après, il y a des matches où l'attaquant touche beaucoup de ballons et d'autres où il n'en touche pas. Contre Barcelone, ce sera un autre match. Il faudra attaquer et ne pas rester derrière.

Cette défaite face à Lille est embêtante avant ce grand rendez-vous...

K.B. : Oui, c'est embêtant. On laisse encore filer des points. C'est la troisième fois cette saison que cette très belle équipe nous pose des problèmes. On avait déjà perdu contre eux en Coupe de France donc on voulait faire un gros match. On a réussi une première période pas mal dans l'ensemble. On a essayé des choses, on loupe des choses. En seconde période, on prend un but. Après, on a essayé de réagir par des contres et on prend un deuxième but. On est tous déçus de ce match.

Et PSG revient à seulement un point...

K.B. : Il reste encore beaucoup de matches. Il y a beaucoup d'équipe qui se tiennent. Paris est sur une bonne dynamique. C'est bien pour le championnat. Mais, depuis le début, on savait que ce serait difficile. Nous, on regarde devant nous. Pour l'instant, ils sont à un point, comme beaucoup d'autres équipes avant eux. On va recevoir deux fois à la maison donc il va falloir faire le plein.

Lille vous a battu deux fois cette semaine. Etes-vous vexès ?

K.B. : On était bien et, en seconde période, on a commencé à mettre des coups, à s'énerver. Ça n'est jamais bon signe quand une équipe perd son calme. Là, il faut vite se reconcentrer pour redresser la pente mais il n'y a pas à s'affoler. Il faut rester solides et concentrés. On sait que le championnat va être très difficile mais on le sait depuis le début. Mais on ne va pas paniquer. On va se remobiliser pour gagner déjà le match de mercredi face à Barcelone. On va vite oublier ce match. Je pense que toute l'équipe a envie de faire quelque chose là-bas. On va aller à Barcelone pour gagner.

Qu'est-ce qui vous inquiète le plus avant d'affronter le Barça ?

K.B. : Le nombre de blessés. En ce moment, il y en a beaucoup à Lyon. En ce moment, c'est vrai que l'on cale un peu, on ne prend pas beaucoup de points. On a aussi perdu à domicile. Mais, en Ligue des Champions, on a une telle envie de gagner. Cette qualification se joue sur un match donc on va tout faire. C'est toujours possible.

Au Nou Camp, ce sera le match de la saison ?

K.B. : C'est un gros match, oui. On va jouer notre qualification là-bas et on a vraiment envie de continuer l'aventure dans cette compétition. Barcelone a gagné ce week-end (2-0 face à l'Athletic Bilbao, ndlr), c'est bien pour eux. La dernière fois, ils avaient perdu et on avait gagné. C'est comme ça. Le championnat et la Ligue des Champions, ce ne sont pas la même compétition, ni la même envie. Sur un match, on est capable de rivaliser avec eux.

Propos recueillis par Anthony PROCUREUR, au Stade de France

Ligue 1 - Réveillère a rejoué
Eurosport | dim 8 mars, 21:25
Trois mois après sa rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche, Anthony Réveillère a rejoué cet après-midi avec la réserve de l'OL, victorieuse 3-0 à Saint-Etienne. Le latéral international de l'OL a disputé les 90 minutes.

Rappelons que le joueur a pris la décision de ne pas se faire opérer. Ce matin, Jean-Michel Aulas ne cachait pas son pessimisme: "C'est une expérience qui est faite sous la responsabilité d'Anthony Réveillère. Nos médecins n'imaginent pas que cela puisse être possible."

KARIM BENZEMA, après le cuisant échec de l'OL contre Barcelone, où en est votre réflexion concernant votre avenir ?

K.B. : Je vais rester à Lyon. J'ai encore beaucoup de travail à faire, des caps à franchir. Je suis très bien à Lyon, le club dispute la Ligue des Champions chaque saison, je suis bien intégré, j'ai encore le temps jusqu'à la Coupe du Monde. Je vais rester à Lyon la saison prochaine.

Quand avez-vous pris cette décision ?

K.B.: Avant la double confrontation contre Barcelone, j'avais déclaré que je prendrai ma décision après ce huitième de finale mais j'avais sorti cette phrase sans vraiment réfléchir Je n'aurais pas dû déclarer cela. Franchement, j'ai tout le temps voulu rester à Lyon même si certains mauvais résultats m'ont mis un peu le doute.

Votre prestation en demi-teinte contre le FC Barcelone a-t-elle pesé dans votre réflexion?

K.B.: Je ne vais pas dire ça. Il faut encore travailler pour avoir l'optique d'aller au plus haut niveau. J'ai encore beaucoup de chemin à faire pour aller vraiment au haut niveau.

Pensez-vous que vous n'êtes pas prêt pour rejoindre un grand club européen?

K.B.: Ce n'est pas une question de me sentir pas prêt. C'est surtout mentalement que je dois progresser. Je n'ai que 21 ans, ce n'est que ma deuxième saison comme titulaire à Lyon, j'ai encore pas mal d'années devant moi avant d'aller dans un autre club.

Les résultats de l'OL d'ici la fin de saison peuvent-ils remettre en cause votre décision?

K.B.: Ça ne dépend pas de ça. J'ai encore des caps à passer pour atteindre le très haut niveau.

La Coupe du Monde 2010 a-t-elle pesé dans votre réflexion?

K.B.: Pas spécialement.

Le président Aulas a-t-il été soulagé par votre décision?

K.B.: (Il sourit). Je pense. Mais, avec mon père, nous avions déjà discuté avec lui. J'ai un plan de carrière ici, à moi de continuer.

Avez-vous demandé des garanties quant au niveau de l'OL la saison prochaine, notamment concernant le futur recrutement?

K.B.: Non, je n'ai pas demandé de garanties mais ce serait bien si Ronaldinho pouvait venir! (Il rigole).

Souhaitez-vous que Juninho reste une saison supplémentaire?

K.B.: C'est un très grand joueur. Aujourd'hui, il est touché par les critiques qui se sont abattues sur lui. Je suis derrière lui, j'espère qu'il va rester à Lyon car c'est quelqu'un de très important sur le terrain et dans le vestiaire.

Propos recueillis par notre correspondant à Lyon, A.C. / Eur

heureusement qu'il reste car je vois pas quel grand club serait attiré par un jeune qui n'arrête pas de se la jouer et qui s'est ridiculsé face au barça
Si c'est pour faire le banc et ne pas jouer la coupe du monde.

Qu'il dégonfle le melon d'abord...

Ligue 1 - OL: une charnière inédite?
Eurosport | mer 18 mars, 15:28
Cris suspendu et Boumsong blessé, l'OL devrait aligner samedi contre Sochaux une charnière centrale Bodmer-Toulalan. Claude Puel a en tout cas associé les deux hommes lors d'une opposition ce matin à l'entraînement.

Ligue 1: Lyon lance son sprint pour conserver son titre
dim 22 mar, 10h08


LYON (Reuters) - L'Olympique lyonnais se lance ce dimanche contre Sochaux dans un sprint final de 10 matches pour tenter de conserver son titre en Ligue 1 malgré une série de défaites et de blessures.

Septuple champion en titre, l'OL reste sur quatre revers consécutifs toutes compétitions confondues, du jamais vu entre Rhône et Saône depuis 18 ans, entre le 24 février et le 14 mars 1991.

Fragilisés par un parcours plus que poussif en Ligue 1 avec un seul point pris lors des trois derniers matches, les Lyonnais ont vu leur trône vaciller lors de la précédente journée avec la première défaite à domicile de la saison en championnat, 2-0 contre Auxerre.

Il a fallu la victoire de Marseille à Paris pour leur permettre de conserver un petit point d'avance sur ces deux rivaux.

Depuis son dernier succès le 21 février à Nancy, non seulement les poursuivants sont revenus dans la course au titre - cinq équipes se tiennent désormais en quatre points - mais l'OL a aussi perdu beaucoup d'objectifs et de sérénité.

Lyon a ainsi enchaîné une élimination en Ligue des champions contre Barcelone, avec notamment un douloureux revers 5-2 en Espagne, une élimination en Coupe de France et deux défaites consécutives en Ligue 1.

BRISER UNE SPIRALE

"C'est le moment de changer les choses", a lancé le milieu de terrain Kim Källström, qui refuse de parler de crise.

"Pas du tout car nous sommes toujours premiers. Nous savons que nous sommes dans une mauvaise série. Il n'y a pas de crise car il y a toujours une possibilité de réagir et il ne faut pas faire les comptes trop tôt dans la saison", a-t-il dit.

Il relaie ainsi le message de son entraîneur, qui ne juge pas la période délicate.

"Non, c'est un moment intéressant pour un entraîneur", a assuré Claude Puel. "Etre entraîneur, ce n'est pas que des moments où tout baigne. Nous sommes en construction et dans ce cas-là, il y a ce genre de moments."

Puel n'entend pas devenir le premier entraîneur lyonnais à briser la série de titres entamée en 2002.

"Je ne me mets pas dans ces considérations-là. Nous sommes dans l'action et je me mets dans l'idée d'être champion. Nous sommes dans le match de dimanche. Il faut briser une spirale qui suffit", a-t-il dit.

Pour inverser la tendance, Claude Puel a donné deux jours de repos en début de semaine à ses joueurs, sortis épuisés physiquement des différentes éliminations.

"Deux jours de repos, ce n'était pas un luxe", a expliqué l'entraîneur lyonnais. "Les joueurs ont repris de la fraîcheur, nous avons fait de bonnes séances et il faut désormais le montrer sur le terrain."

CHARNIÈRE INÉDITE

Avant de débuter la semaine d'entraînement, joueurs et membres de l'encadrement ont évoqué la situation du club dans l'intimité du vestiaire mercredi matin.

"Chacun a exposé son point de vue. Il faut installer une autre ambiance, une autre philosophie", a rapporté Mathieu Bodmer. "Cela ne sert à rien de dramatiser. Nous sommes encore en tête du championnat."

Claude Puel a délivré le même message: "Ce n'est pas faire du positif pour faire du positif. C'est être objectif et penser à juste titre que nous avons les cartes en main. Cela ne dépend que de nous.

"Nous sommes toujours devant et cela dépend de notre implication et de la qualité de nos matches d'ici la fin de saison. Nous nous devons de rendre une bonne copie dimanche."

Le problème se pose justement à Gerland, comme en atteste le bilan après 14 rencontres de championnat à domicile: sept victoires - dont une seule en 2009 face au dernier, Le Havre -, six nuls et une défaite.

"Il est évident que nous nous sommes trop peu fait respecter chez nous pour un prétendant au titre. Un titre se construit à domicile", est convenu Puel.

Pour affronter Sochaux, l'entraîneur lyonnais va une nouvelle fois devoir se creuser les méninges pour construire son équipe, notamment en défense centrale avec la suspension de Cris et les blessures de Jean-Alain Boumsong et John Mensah.

La charnière sera donc inédite avec une association entre Mathieu Bodmer et Jérémy Toulalan.

Edité par Bertrand Boucey

Clerc et mounier pourrai partir à l'été .

Clerc est interessé par une aventure en Italie ou en Allemagne.

Toulouse s'est positionné pour l'été prochain de mounier.

Selon le quotidien sportif A Bola, l'attaquant brésilien Nenêm serait sur les tablettes de Lyon. Agé de 25 ans, il a inscrit 15 buts en 21 matches sous les couleurs du Nacional Madeira. Nenêm est le meilleur buteur du championnat portugais.

Avant le déplacement à Valenciennes samedi, lors de la 34e journée de L1, Mathieu Bodmer fait le point sur le moral de l'OL, désormais quasiment condamné à ne viser "que" la troisième place. Il en profite également pour assurer qu'il sera encore lyonnais la saison prochaine.


Plus d'infos34e j. : Programme
L1: Classements
..MATHIEU BODMER, comment réagissez-vous à la victoire de Bordeaux à Rennes (3-2)?

M.B. : Comme Marseille, on voit que Bordeaux répond présent. Ces deux équipes avancent. Même à dix contre onze à l'extérieur, les Girondins ont été capables de s'imposer. On ne peut qu'être admiratif du travail qu'ils font actuellement. Ils montrent qu'on peut aller au bout de ses idées, à condition de ne rien lâcher et d'y croire jusqu'au bout.

L'Olympique Lyonnais a-t-il encore une petite chance d'être champion?

M.B. : Mathématiquement, il y a toujours une chance car il reste quinze points en jeu. Mais c'est vrai que ce sera très compliqué car il désormais deux équipes devant nous. Il faudrait qu'elles commettent plusieurs faux pas et que nous soyons irréprochables. Ces derniers temps, nous n'avons pas gagné beaucoup de matchs. Nous devons donc d'abord nous concentrer sur notre jeu pour réussir les meilleures performances possibles.

Est-ce mentalement que Marseille et Bordeaux sont plus forts que Lyon actuellement?

M.B. : C'est vrai qu'actuellement, nous n'arrivons pas à aller chercher les victoires en fin de match, contrairement à ces deux équipes. En ce moment, leurs dynamiques sont beaucoup plus intéressantes que la nôtre. À nous de relever la tête et de travailler pour avancer.

Comment vit le groupe? Êtes-vous sonnés?

M.B. : Non. Au quotidien, le vestiaire vit très bien. On essaie de positiver au maximum. Tout le monde essaie d'aller dans le même sens pour que le groupe ne vole pas en éclat, comme cela pourrait se produire dans certains clubs dans ce genre de situation.

Comment pouvez-vous positiver?

M.B. : Il le faut bien. Si on s'écroule complètement, on pourrait ne pas se qualifier pour la Ligue des Champions. Paris est juste derrière nous. Lille et Toulouse ne sont pas très loin. Si nous ne nous ressaisissons pas, nous pouvons vraiment tout perdre et ce serait catastrophique. L'objectif minimum est de se qualifier pour la Ligue des Champions.

Vous imaginez-vous participer à l'Europa League la saison prochaine?

M.B. : Pas du tout. Il faut au moins garder cette troisième place. La quatrième place serait une catastrophe. Si on arrive à accrocher le titre, ce serait un miracle.

Est-ce compliqué de se motiver pour viser la troisième place alors que l'objectif initial était d'être champion de France?

M.B. : Non, ce n'est pas compliqué. On respecte nos couleurs, nous devons faire notre métier jusqu'au bout. Il faut gagner un maximum de matchs pour conserver cette troisième place.

La perspective de ne pas être champion est-elle dur à encaisser?

M.B. : Bien sûr car tous les joueurs qui sont ici veulent gagner des titres. Une année vierge serait dommage pour tout le monde. L'objectif est d'accrocher la Ligue des Champions, avant de repartir pour faire mieux la saison prochaine.

Samedi, l'OL se déplace à Valenciennes. Avec quel état d'esprit?

M.B. : Il faut gagner sinon, en cas de victoire de Paris devant Rennes, nous pourrions nous retrouver à la quatrième place. Ce sera un match compliqué, Valenciennes ayant encore besoin de points pour assurer son maintien. À l'image de son entraîneur, Valenciennes est une équipe qui ne lâche jamais rien. J'avais vu à la télévision sa rencontre contre Lille (2-0) qui avait prouvé que, sur un match, cette équipe était capable de rivaliser avec des formations du haut de tableau.

Àtitre personnel, vous avez joué milieu offensif axial contre Paris. C'est le rôle que vous réclamiez

M.B. : Oui, depuis que je suis revenu de blessure, mon souhait est de jouer au milieu de terrain. À moi de travailler à l'entraînement et en match pour trouver des automatismes à ce poste, et pour gagner ma place.

On vous annonce au Paris Saint-Germain la saison prochaine

M.B. : Ça fait 15 ans que Paris me demande (sic) mais 15 ans que je n'ai pas porté ses couleurs. C'est une question qui revient chaque semaine. Pour l'instant, je suis lyonnais et il me reste deux ans de contrat. On verra bien où je serai au mois de juillet mais, pour l'instant, je me vois bien poursuivre l'aventure que j'ai entamée ici il y a deux saisons.

Quelle est votre envie?

M.B. : Rester à Lyon.

Même s'il n'y a pas la Ligue des Champions?

M.B. : Même s'il n'y a pas la Ligue des Champions.

Sydney Govou pourrait rejouer dès mardi. Le Lyonnais a été autorisé par le chirurgien qui l'a opéré du tendon d'Achille à revenir. Blessé en janvier dernier, l'international français pourrait donc être de la partie, mardi face à Nantes (35e journée).

S'il reconnait que le titre est perdu, il pense que Bordeaux est en pole pour succéder à l'Olympique Lyonnais. Interrogé dans l'Equipe, Govou pense que Bordeaux "est mieux armé".

Ce retour à la compétition, ça s'arrose!

Duroc' 51 a écrit:

Ce retour à la compétition, ça s'arrose!

Tu sors

Le Brésilien Fabio Santos, qui avait eu maille à partir avec Claude Puel samedi à Valenciennes (2-0), a été mis à pied dix jours par l'OL.



Sorti à la pause et furieux, le milieu de terrain a failli en venir aux mains avec l'ancien entraîneur de l'Olympique Lyonnais. Le joueur ne sera donc pas avec le reste de l'équipe à Evian, où l'OL part en stage.

Anaïs a écrit:

Duroc' 51 a écrit:

Ce retour à la compétition, ça s'arrose!

Tu sors

OK, je veux bien... mais je ne suis pas le seul!

pascalou14 a écrit:

Le Brésilien Fabio Santos, qui avait eu maille à partir avec Claude Puel samedi à Valenciennes (2-0), a été mis à pied dix jours par l'OL.

Allez l'OL!

Citation :

06/05/2009 - 21:00
Lyon: Les revenus d'OL Groupe reculent de 18%
En recul sur le plan sportif, l'Olympique Lyonnais connaît également quelques soucis d'ordre financier. Par rapport au 31 mars 2008, le total des produits des activités d'OL Groupe, qui atteint 133,9 millions d'euros, est en effet en baisse de 18%. Si les revenus de la billetterie sont stables (19 millions d'euros), les revenus des droits TV sont en revanche en baisse de 5%.

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Il faut verser une petite larme siou plaît ou PAS

J'aimerais bien avoir les 19 millions d'euros dans mon porte feuille.

audrey a écrit:

Il faut verser une petite larme siou plaît ou PAS

ou PAS...

Absent depuis le mois de janvier, Sidney Govou a refoulé un terrain de football avec ses partenaires à l'occasion d'un match amical face à Grenoble (victoire des Lyonnais 1-0).

"Cela a été, a-t-il affirmé. J'ai pu jouer 45 minutes. Cela m'a permis de retrouver un peu la compétition même si c'était un match amical. J'ai pu retrouver quelques repères. Dans l'ensemble, je suis relativement satisfait. Je n'ai eu aucune appréhension, un peu de fatigue mais pas de douleur au bout de 45 minutes, ce qui est normal."

"Sidney Govou a fait une bonne rentrée, a déclaré Claude Puel. Après une longue absence, il a démontré qu'il avait déjà un bon petit rythme et a fait des choses intéressantes. C'est encourageant pour lui et pour nous. C'est super de le revoir déjà à ce niveau et après une aussi grave blessure"

Sidney Govou a été autorisé à reprendre la compétition par le chirurgien qui l'a opéré du tendon d'Achille à revenir. Blessé en janvier dernier, l'international français pourrait donc être de la partie, mardi face à Nantes (35e journée

Après avoir retrouvé les terrains face à Grenoble, vendredi en amical, Sidney Govou a été retenu dans le groupe lyonnais qui affrontera Nantes, mardi (35e journée de Ligue 1). Ce retour intervient quatre mois après sa rupture du tendon d'Achille.



Si Govou est de retour, Keita n'est lui pas dans le groupe.

Le groupe lyonnais : Lloris, Vercoutre - Mensah, Cris, Boumsong, Réveillère, Grosso - Toulalan, Källström, Makoun, Juninho - Govou, Delgado, Ederson, Pjanic, Mounier - Piquionne, Benzema.

Cela n'a rien d'officiel mais les rumeurs de départ de Juninho s'intensifient. Sous contrat jusqu'en juin 2010 avec Lyon, il se confirme que des offres venant d'Arabie Saoudite et du Qatar feraient sérieusement réfléchir le milieu brésilien.

Concerné par la fin de saison lyonnaise, Juninho reste muet sur le sujet mais on s'agite dans son entourage. Surtout si l'OL venait à manquer l'une des trois dernières places qualificatives pour la Ligue des Champions.

Juninho, le milieu de l'Olympique lyonnais, a inauguré à Lyon un stade à son nom, en présence du sénateur-maire de Lyon (PS) Gérard Collomb et du président de l'OL, Jean-Michel Aulas. Ce stade accueille des équipes de l'AS Montchat.

"En arrivant à Lyon, je ne pensais pas qu'un jour j'aurais un stade à mon nom. C'est un immense honneur. Cela m'a touché. "Mais cela ne veut pas dire que je vais quitter l'OL. Grégory Coupet et Sonny Anderson ont également un stade à leur nom et ils ont continué à jouer après l'avoir inauguré ", a déclaré Juninho, qui a remporté 7 titres de champion de L1 avec l'OL.