[Ecosse - France]

ouais vraiment dommage!!il y avait largement la place,ça c est jouer sur un corner...
nous henry qui touche le poteau sur le coup franc,bon beh la chance était du camp écossais!!sinon je trouve que les 2 attaquants écossais était 9 et 11 mettait a chaque fois des coups...
bon arbitrage du suisse!!

enfin bref, heureusement que mercredi on joue les iles féroés histoire de reprendre le moral!

Bon dommage pour nous c'est tres décevant de perdre un match comme celui la mais bon...
Par contre un joueur écossais doit se prendre un 2eme jaune donc un rouge ça aurait changé le match

c'est peut etre pas mal! nous faire redescendre un peu les pieds sur terre meme si je suis super decu du score vu le physionomie du match

eh bien, on vient de se prendre une belle claque.
On a dominé, mais parfois c'était sstérile.
Et on prend encore un but sur coup de pied arrêté. C'est la spécialité de l'équipe de France voir le mondial et le dernier match contre l'Italie.

gregeag60 a écrit:

c'est peut etre pas mal! nous faire redescendre un peu les pieds sur terre meme si je suis super decu du score vu le physionomie du match

+ 1

perdre après une telle domination c'est vraiment dommage

et voici l'excuse de Raymond :

Le sélectionneur de l'équipe de France a fustigé samedi «le dressage des ramasseurs de balle qui ont ralenti le jeu» pendant Ecosse-France (0-1).
«Pour moi les Ecossais, jusqu'ici étaient fair-play, a fait observer Raymond Domenech. Or les ramasseurs n'ont pas redonné le ballon tout de suite. Je suis déçu de ce côté là.» Son homologue Walter Smith a accueilli cette sortie avec flegme : «Je crois que ce genre de choses se passe un peu partout dans le monde».

(l'équipe)

Piètre excuse!

chnord a écrit:

et voici l'excuse de Raymond :

Le sélectionneur de l'équipe de France a fustigé samedi «le dressage des ramasseurs de balle qui ont ralenti le jeu» pendant Ecosse-France (0-1).
«Pour moi les Ecossais, jusqu'ici étaient fair-play, a fait observer Raymond Domenech. Or les ramasseurs n'ont pas redonné le ballon tout de suite. Je suis déçu de ce côté là.» Son homologue Walter Smith a accueilli cette sortie avec flegme : «Je crois que ce genre de choses se passe un peu partout dans le monde».

(l'équipe)

C'est vraiment une excuse bidon.Quant on domine un match de tel sorte on a pas le droit de la perdre il fallait juste mettre les ballons au fond.

ne vous acharnez pas quand même ce petit commentaire est issu d'une longue déclaration

en tout cas c'était super ennuyeux comme match.... et un peu décevant, même si dans un sens c'est mérité. On aurait du prendre l'avantage depuis longtemps.

La Voix du Nord - 08/10/2006

Les Bleus tombent de très haut à Hampden Park

Tout était réuni pour que l’équipe de France puisse éviter le piège écossais mais sans inspiration offensive...
Le football de haut niveau a horreur des approximations et des promesses non tenues. Pendant une heure, l’équipe de France eut la latitude de prendre ses distances avec un adversaire écossais alors très juste dans ses investigations et même très éloigné des standards du haut niveau. Mais jamais elle ne sut hausser le ton, jamais elle ne sut imposer sa loi. Le retour de flamme fut rude et à la mesure, finalement, de l’impuissance des Bleus.
À GLASGOW PAR PIERRE DIÉVAL

Quand on affronte un vice-champion du monde au potentiel reconnu dont tous les faits et gestes, depuis le début de la compétition, se sont révélés payants, il y a forcément une crainte naturelle qui, dans le cas présent, s’était exprimée par une prudence extrême de la part des Écossais. Avec un schéma en 5-4-1 ne laissant place à aucune fantaisie, Walter Smith avait annoncé la couleur : ses « boys » ne fonceraient pas tête baissée dans la bataille. Un vrai choc culturel compte tenu des dispositions frondeuses du footballeur écossais et de son inextinguible soif d’espaces.
Dans un premier temps, les Bleus avaient semblé un peu interloqués par cette option sécurisante. Mais, très vite, ils s’étaient accommodés d’une telle orientation stratégique. Il faut dire que, techniquement et tactiquement, les hommes de Domenech avaient quelques longueurs d’avance sur leurs opposants.

Rage de vaincre

Face au bloc adverse, leur maîtrise tranchait inévitablement avec la lourdeur écossaise. Prolongement logique de cette tendance, Gordon commença à voir venir vers lui des ballons de plus en plus perforants. L’un d’eux, frappé par Henry sur coup franc, trouva d’ailleurs son poteau gauche (9e) avant que Vieira (de la tête) ne marque un but refusé pour hors-jeu, que Sagnol ne rate d’un cheveu la tête de Ribéry (20e) et qu’un tir de Malouda en demi-volée n’effleure le cadre (24e).
Pour autant, lorsqu’une opportunité s’était présentée (après trente-huit minutes...), Dailly ne s’était pas privé pour harponner, de la tête bien sûr, un Coupet impeccable sur sa ligne. Mais il ne s’agissait là que d’un coup isolé, que d’une impulsion sans vrai fil conducteur. Car, globalement, l’Écosse était d’une pâleur affligeante dans le jeu, ne construisant quasiment rien, accumulant les relances hasardeuses et se bornant le plus souvent à briser les mouvements français. Cette équipe sans vernis courait plus qu’elle ne jouait. Mais les Français auraient dû savoir qu’un Écossais a toujours en lui la rage de vaincre qui sied aux gens qui n’ont peur de rien.
Pour n’avoir pas su mettre de la folie dans leur football alors que les événements leur étaient favorables, pour être restés scotchés à leurs intentions alors qu’on attendait d’eux une froide efficacité, les Bleus se retrouvèrent soudain cloués au sol par une de ces actions dont tout footballeur britannique raffole. Une poussée d’abord anodine, suivie de deux corners consécutifs et, pour finir, la sanction... Une gifle magistrale qui tombait d’autant plus mal que la France n’avait jamais été inquiétée jusque-là et surtout, que l’Écosse n’avait rien prouvé (1-0, 67e).
On vit dès lors un autre match, avec une France devenue vulnérable, une France plus étroite dans ses enchaînements et bien sûr une Écosse plus présente qui aurait d’ailleurs pu gonfler ses investissements sans un retour de Thuram (78e).
Symbole de l’impuissance française : seul face à Gordon, en fin de match, Henry manqua l’immanquable...

moi j ai bien aime ce match!!!............bon ok j avais
deja 3 grammes à la mi-temps.
ca aide !!

tu l'as regardé au cross?

la honte ce mach

Pas bon du tout la défaite, aps bon... et DOmenech... pfff il fait comme si de rien n'était...

enfin, j'espere que contre les Iles Féroés on fera quelque chose!