[Coupe de l'UEFA] Saison 2008/09

OM/PSG, grands clubs nationaux, même pas en mesure de rivaliser avec leurs homologues ukrainiens...
Ridicule football français...

Les deux club allemand on répondu présents.

Les demis-finales auront lieu le 28 et 29 avril (match aller) et 5 et 6 mai (match retour)

Ca veut être champion de France ( ) et sa se pète la gueule 2 fois contre une équipe Ukrainienne...

pascalou14 a écrit:

Les deux club allemand on répondu présents.

Oui à part que Hamburg à perdu chez les Citizens et que Bremen reviens de loin contre l'Udinese... On ne retiendra que la qualif...

ça fait deux de suite et ça va me gaver


sinon pour le match, j'y étais presque hein

Duroc' 51 a écrit:

On espérait beaucoup de choses dans cette Coupe UEFA en voyant les noms des derniers représentants... et bien non, nos équipes rescapées trouvent le moyen de tout foirer.

peut-être surcôtes-tu nos représentants l'ami

je l'avais dit : ces ukrainiens sont loin d'être des pouilleux et le foot français n'est plus ce qu'il a été il y a quelques saisons (de la fin des années 80 jusque 2004 en fait)

Mais c'est clair qu'aujourd'hui on est des brêles : on se fait gicler par des Ukrainiens, des Norvégiens, des Slovaques... on en arrive à trembler devant des nations comme la Lituanie.

La Coupe UEFA n'est que le reflet du pauvre niveau du foot français. Mais chauvin que je suis, j'espère toujours qu'on s'en sortira.

Il faut vraiment que j'arrête ce "positivisme autopersuasif thiriezien" moi!!!

Duroc' 51 a écrit:

Mais c'est clair qu'aujourd'hui on est des brêles : on se fait gicler par des Ukrainiens, des Norvégiens, des Slovaques... on en arrive à trembler devant des nations comme la Lituanie.

La Coupe UEFA n'est que le reflet du pauvre niveau du foot français. Mais chauvin que je suis, j'espère toujours qu'on s'en sortira.

Il faut vraiment que j'arrête ce "positivisme autopersuasif thiriezien" moi!!!

un bon début pour espérer retrouver la grandeur d'antan, c'est de dégager les thiriez, escalettes, domenech ... toutes ces personnes qui maintiennent le foot français dans le bourbier au lieu de le laisser s'envoler au côté des championnats italiens, allemands, anglais et espagnols

Abusez pour Marseille le nombre de tirs qu'ils ont eut et pas capable de cadrer plusieurs fois

loic_va a écrit:

jojo62 a écrit:

chnord a écrit:

mais sachant que tout le monde n'a pas la TNT en France

réellement ?

même dans mon trou pourri douaisien, on reçoit la TNT depuis au moins 1 an je crois


le psg perd 3 à 0 à 30 minutes de la fin !

Tout le monde n'a peut être pas le décodeur TNT... J'pense que c'est ce que voulait dire chnord...

non non, je ne capte pas la TNT chez moi, même avec un décodeur

dinon, pas grand chose à dire les résultats parlent d'eux mêmes, on aurait pu avoir notre français en finale, c'était jouable, mais c'était sans compter sur l'incroyable vista de la bande à Landreau et celle de ben arfa pauvre france...

Marseille à cadrer que 2 fois sur 25 tirs
Donesck à cadrer 2 tir sur 3

Pauvre France

Les éliminations sans gloire de Marseille et Paris en quarts de finale de la Coupe de l'UEFA stigmatisent un peu plus la faiblesse des clubs français à l'échelle européenne. La France était déjà à la remorque des grands championnats. Elle peine maintenant à rivaliser avec le tout-venant.

Voilà, c'est plié. Circulez, y a plus rien à voir. A la mi-avril, l'Europe est une affaire réglée pour le football français. Absents des quarts de finale en Ligue des champions, les clubs de Ligue 1 n'auront pas davantage de représentants en demi-finale en Coupe de l'UEFA après les éliminations de Marseille et du Paris-Saint-Germain, jeudi. Difficile de parler de surprise, tant ces absences répétées sur la scène continentale sont devenues une habitude ces dernières années.

La dernière embellie pour le football hexagonal date de 2004. Cette année-là, Monaco avait atteint la finale de la ligue des champions et l'Olympique de Marseille celle de la Coupe de l'UEFA. Deux finales perdues, certes, mais ce passé pas si lointain fait office d'opulence au regard de la misère actuelle. Depuis cinq ans, aucun club français n'a atteint les demi-finales d'une des deux Coupes d'Europe. Pendant ce temps, 10 pays ont eu au moins un représentant dans le dernier carré (1). Certes, en Ligue des champions, il est bien difficile de se faire une place au soleil derrière les gloutons anglais. Seuls les Espagnols et les Italiens arrivent à ramasser les miettes. Mais en UEFA, mêmes les Roumains et les Ecossais ont réussi à glisser un de leurs représentants en demies.

Juste logique

Drapée dans son arrogance, la belle et grande France rétorquera que l'UEFA est une sous Coupe d'Europe. A peine digne de l'intérêt de ses clubs. Sauf que cette épreuve au rabais, dont l'intérêt prête effectivement sujet à discussion, ne manque pas une occasion de rappeler la Ligue 1 à sa médiocrité. A ce titre, la double confrontation franco-ukrainienne de la semaine écoulée s'est avérée terriblement révélatrice. Paradoxalement, les éliminations marseillaise et parisienne font plus mal encore que la débâcle lyonnaise en Ligue des champions. L'OL, c'est une évidence, n'avait pas le coffre nécessaire pour voyager durablement en C1 cette saison. Mais en chutant (lourdement) à Barcelone, les Gones ont au moins pu se consoler en se disant qu'ils étaient tombés sur la référence absolue du moment.

Rien de tel pour l'OM et le PSG. Dans un contexte moins relevé, l'espoir semblait permis. Tout le monde rêvait déjà d'une demi-finale inédite entre les frères ennemis de la L1. Cela n'aurait manqué ni de gueule ni de piquant. Rendez-vous compte, un "Clasico" à l'échelle continentale. Toute l'Europe nous l'aurait envié. On salivait d'avance. Finalement, c'est l'Ukraine qui aura droit à son duel national. Le Dynamo Kiev et le Shaktar Donestk sont passés par là, renvoyant les deux "géants" français dans le caniveau. Le plus éloquent, le plus choquant, c'est que cette double élimination est juste logique. Kiev et Donetsk sont aujourd'hui supérieurs au leader et au 6e du Championnat de France. Donc acte.

Jeudi soir, dans une émission de télévision consacrée à l'analyse de cette superbe soirée européenne, un "expert" a expliqué très sérieusement que "pour Marseille, cela s'était joué à peu de choses", ajoutant que si c'était l'OM, et non Donetsk, qui avait ouvert le score au Vélodrome, le match aurait sans doute été différent. Pertinent. On pourrait ajouter que si les Marseillais n'avaient pas perdu 2-0 à l'aller en Ukraine, si Landreau ne s'était pas troué à Kiev et si, et si, et si... Il faut arrêter avec tout ça. Le bilan de ces quatre matches ne laisse aucune place au doute: un nul (0-0) et trois défaites. Un seul but marqué, sept encaissés conjointement par l'OM et le PSG. Le football français est à sa place. Elle n'est pas reluisante. Si Lyon a vaguement caché la forêt pendant quelques saisons, on peut craindre aujourd'hui une traversée du désert semblable à celle du début des années 70 et du début des années 80. Mais on peut compter sur la Ligue 1 pour se regarder le nombril dès samedi, avec son choc Bordeaux-Lyon, son savoureux Lorient-Marseille, et son beau suspense. Ça promet quelques beaux week-ends. Pour les soirées en semaine et l'Europe, ce sera devant la télé. Comme d'habitude au printemps.

(1) LISTE DES CLUBS AYANT DISPUTE AU MOINS UNE DEMI-FINALE DEPUIS 5 SAISONS

Angleterre: Manchester United, Arsenal, Chelsea, Liverpool, Middlesbrough
Espagne: Barcelone, Villarreal, FC Séville, Espanyol Barcelone, Osasuna
Allemagne: Bayern Munich, Schalke 04, Werder Brême, Hambourg
Italie: Milan AC, Parme, Fiorentina
Pays-Bas: PSV Eindhoven, AZ Alkmaar
Ukraine: Dynamo Kiev, Shaktar Donetsk
Russie: CSKA Moscou, Zenith Saint-Petersbourg
Ecosse: Glasgow Rangers
Portugal: Sporting Portugal
Roumanie: Steaua Bucarest

eurosport.fr

nick a écrit:

LISTE DES CLUBS AYANT DISPUTE AU MOINS UNE DEMI-FINALE DEPUIS 5 SAISONS

Angleterre: Manchester United, Arsenal, Chelsea, Liverpool, Middlesbrough
Espagne: Barcelone, Villarreal, FC Séville, Espanyol Barcelone, Osasuna
Allemagne: Bayern Munich, Schalke 04, Werder Brême, Hambourg
Italie: Milan AC, Parme, Fiorentina
Pays-Bas: PSV Eindhoven, AZ Alkmaar
Ukraine: Dynamo Kiev, Shaktar Donetsk
Russie: CSKA Moscou, Zenith Saint-Petersbourg
Ecosse: Glasgow Rangers
Portugal: Sporting Portugal
Roumanie: Steaua Bucarest

eurosport.fr

là, ça craint

Dynamo Kiev 1-1 Shaktior Donetsk

Brême 0 - Hambourg 1
Hambourg aura un petit avantages au retour avec le but inscrit à l'extérieur.

Après avoir ramené de bons résultats de l'extérieur lors des demi-finales aller de la Coupe de l'UEFA, le Chakhtior Donetsk et Hambourg veulent valider devant leurs fans leur billet pour la finale du 20 mai. Mais Brême et Kiev vendront chèrement leur peau.


Qui sera la première équipe ukrainienne à atteindre la finale de la Coupe de l'UEFA ? Pour le moment c'est Donetsk, qui a ramené jeudi dernier un bon nul de Kiev (1-1). Le Chakhtior aurait même pu être encore mieux embarqué s'il s'était montré plus adroit devant le but lors du match aller. Car le Dynamo, vainqueur de la C2 en 75 et 86, n'a presque rien montré dans un match d'un faible niveau technique. Il faudrait évidemment faire beaucoup mieux jeudi soir (18h30) face aux hommes de Lucescu et à leur public. Donetsk, qui peut se contenter d'un 0-0 pour jouer la finale prévue le 20 mai à Istanbul, jouera sans Kucher (suspendu). Il se méfiera de la réorganisation tactique opérée par Youri Semine : Kiev devrait évoluer en 4-5-1, Bangoura prenant place sur le banc.


Si Donetsk est en ballottage favorable, c'est encore plus le cas d'Hambourg. Le HSV a été gagner à Brême (1-0) et ne doit pas perdre dans son stade pour jouer sa première finale européenne depuis 1983. Guerrero suspendu, c'est le revenant Petric qui épaulera Olic en attaque. Jamais battu par le Werder en trois rencontres cette saison (mais tout de même éliminé en demies de la Coupe par les hommes de Schaaf aux tirs au but), Hambourg met tous ses espoirs sur la C3 pour mettre fin à une disette de 22 ans sans titre pour le club. Pour cela, il faudra surtout sur méfier de Diego, Özil et Almeida, tous mis au repos le week-end dernier dans l'optique de ce duel 100% allemand

Le Shakhtar Donetsk a battu le Dynamo Kiev 2-1 (aller 1-1) et se qualifie donc pour la finale de la Coupe de l'UEFA...

Dîtes moi si c'est grave docteur ?
Shakhtar Donetsk... voici un nom désormais limite plus prestigieux que celui d'un club français...

Shaktior Donetsk 2-1 Dynamo Kiev

Donetsk premier finaliste de la coupe UEFA.

Mi temps

Hambourg SV 1-1 Werder Breme

Avantage pour le HSV...

Hambourg SV 2-3 Werder Brême

Truc de dingue!

On est passé par toute les émotions à la Nordbank Arena! Tout d'abord 1-0 grâce à Ivica Olic, ensuite 1-1 grâce à Diego, c'est le score à la mi temps, et à ce moment là tout va bien pour Hambourg! Mais Pizarro, puis Baumann crucifient le HSV à quelque minutes de la fin, alors que Olic signera un 2nd but dans le temps additionnel! Bref, Hambourg peut vraiment avoir des regrets, surtout après avoir gagné à Breme, il n'y avait plus grand chose à faire! A 1-0 ils ont du se voir trop beau certainement...

La finale sera donc Shaktior Donetsk-Werder Breme

Ont pourra au moins dire que 2 de nos clubs français ont été vaincus par les finalistes de l'épreuve...

Bravo à donesk
Bravo à brême

Le défenseur du Werder Brême Per Mertesacker manquera la finale de la Coupe de l'UEFA le 20 mai face au Shakhtar Donetsk, a annoncé vendredi le club allemand.

Le défenseur international allemand a été touché au ligament de la jambe droite durant la demi-finale retour jeudi à Hambourg (victoire 3-2).

Après les suspensions du milieu de terrain Diego et de l'attaquant Hugo Almeida, il s'agit du troisième joueur majeur du Werder déjà forfait pour la finale d'Istanbul.

Mertesacker, absent trois semaines, pourrait aussi manquer la finale de la Coupe d'Allemagne le 30 mai.

Le Werder Brême, perdu dans le ventre mou de son Championnat, défend l'honneur de la vieille Europe en finale de la Coupe de l'UEFA mercredi à Istanbul face aux "nouveaux riches" et ambitieux ukrainiens du Shakhtar Donetsk.

Pour sa dernière édition, avant sa transformation en Europa League, la Coupe de l'UEFA s'est offert une finale qui synthétise la redistribution des cartes du football européen en cours depuis le début des années 2000.



D'un côté, le Werder Brême, club historique d'un football allemand réduit au rôle de figurant en Ligue des champions face aux premiers rôles venus d'Espagne et d'Angleterre.

De l'autre, le Shakhtar Donetsk qui, avec les millions de son richissime président Rinat Akhmetov et son stade ultra-moderne, veut s'inviter au plus vite dans la cour des grands.

Mais avant d'être une leçon de géopolitique footbalistique, le rendez-vous d'Istanbul est avant tout une alléchante opposition entre deux équipes au penchant affirmé pour l'attaque.

Pour parvenir en finale, les Brêmois, "recalés" de la Ligue des champions comme le Shakhtar, ont fait chuter l'AC Milan, une autre équipe italienne moins huppée, l'Udinese, les Français de Saint-Etienne, puis leurs compatriotes de Hambourg, sans perdre une seule fois à l'extérieur.



"Pour gagner une finale, il faut un état d'esprit particulier et cette équipe a démontré cette saison qu'elle l'avait", insiste son directeur sportif Klaus Allofs qui, avec Thomas Schaaf, avait remporté comme joueur le seul titre européen du Werder, la défunte C2 en 1992, face à Monaco (2-0).

"Nous avons fait un tel chemin et franchi tant d'obstacles pour en arriver là que nous ne pouvons que gagner ce trophée", a espéré Schaaf.

Les improvisations brésiliennes viendront de Fernandinho, Ilsinho, Jadson et Adriano, dépositaires du jeu offensif des "Mineurs" de Donetsk.

"Notre style de jeu repose sur la qualité individuelle de nos joueurs et nous voulons tout faire pour contrôler la rencontre", a prévenu Mircea Lucescu qui, depuis 2004, a enlevé trois titres de champion et une Coupe d'Ukraine.

Pour s'assurer le soutien du Sükrü-Saracoglu-Stadium, le technicien roumain a rappelé "son amour pour Istanbul" après quatre années à Galatasaray.

Le président du Shakhtar, l'une des plus grosses fortunes au monde, rêve de rejoindre le gotha européen. Son équipe lui a déjà offert le scalp du FC Barcelone (3-2) lors du dernier match de poules de la Ligue des champions, il est vrai sans enjeu pour le Barça.

La C3 n'est donc qu'une étape mais permettrait au Shakhtar d'offrir à l'Ukraine son premier titre européen depuis l'effondrement du bloc soviétique et ferait oublier pour un temps une préparation de l'Euro-2012 bancale côté ukrainien.

Mi temps:

Shaktior Donetsk 1-1 Werder Brême
Naldo (Brême) à répondus à Luiz Adriano (Donetsk).

à 4 minutes de la fin de la 2éme prolongation

Donetsk 2 - Brême 1

Donetsk remporte la dernière coupe de l'UEFA de l'histoire, victoire 2-1 contre Brême