Lens - Toulouse

Match entre deux équipes en méforme : sur les 5 derniers matchs de championnat, Lens n'a pris que 3 points (3 matchs nuls et 2 défaites) et Toulouse 3 points également (1 victoire pour 4 défaites lors des 4 derniers matchs) ...

Victoire impérative pour les sang et or, sous peine d'être (définitivement ?) décroché dans la course au maintien !

Quelques Stats :


Arbitre du match :

Un bon match nul qui ferait du bien au deux équipes

Gervais ou l'art de positiver :

On est releguable depuis la cinquième journée mais je ne suis pas inquiet

Si le public pousse, on va s'en sortir à bollaert

je suis confiant et exigeant.

Citation :

Le groupe Lensois : Kasraoui, Runje ; Aurier, Bedimo, Chelle, Touré, Yahia ; Démont, Hermach, Keita, Kovacevic, Roudet, Sertic, Sow ; Akalé, Eduardo, Jemaa, Maoulida, Pollet.

A noter le retour dans le groupe de David Pollet absent, depuis plusieurs matchs, suite à une blessure et une phase de reprise.

Absents : Varane (suspendu) ; Queudrue (contracture à la cuisse)

Citation :

Le groupe Toulousain : Ahamada, Mejia - Congré, Gunino, Fofana, M'Bengue, Cetto - Devaux, Sissoko, Mansaré, Didot, Capoue, Sirieix, Machado, Braaten, Tabanou - Santander, Tafer.

Absents : Ben Yedder, Valverde (suspendus) ; Firmin, Vidal, Aigouy, Regattin, Perrier Doumbe, Atassi, Pentecôte, Pelé

Si Lens ne gagne pas alors que Toulouse n'a plus de gardien, c'est à désespérer!!!

Que le meilleur gagne

Toulouse s'impose 1-0

Equipe a écrit:

Défaits et humiliés, les Lensois quittent la pelouse la tête baissée.

HONTEUX, INDIGNE DE LA LIGUE 1, voilà ce que l'on peut retenir du "(non)match" du Racing ce soir contre une équipe toulousaine loin d'être redoutable !

Pas de jeu collectif, des duels toujours à l'avantage des sudistes ... bref ça sent plus que jamais la Ligue 2 ...

Citation :

En se présentant le premier face à la presse, Gervais Martel a tenu à assumer ses responsabilités après la défaite de son équipe contre Toulouse (0-1). Une défaite qui la maintient à quatre points d'Auxerre (17e), mais déjà à sept de Nancy (16e). Sa principale cible ? Ses joueurs. «Je suis très en colère, car j'avais l'impression qu'on avait fait une bonne semaine d'entraînement. C'était le sens de mon discours positif de jeudi, s'est-il justifié en préambule. Mais l'équipe était méconnaissable. L'entraîneur avait demandé de presser haut. Au bout de cinq minutes, on n'avait même pas dépassé le milieu du terrain... On n'a jamais gagné un duel, ni un second ballon. On était comme anesthésiés. C'est plus dans l'esprit et la manière qu'il y a de quoi être furieux. On a touché le fond. Dessous, il n'y a plus que le cercueil. Il faut qu'on se mette à jouer, ce qui n'était pas le cas ce soir. Merde, on est à Bollaert quand même ! Et on n'a pas d'enthousiasme dans le jeu, on n'est pas libérés ! Ce soir, mes joueurs ont été en-dessous de tout, avec une passivité incroyable pour un club qui joue sa peau. Qu'on soit au moins digne de nos couleurs, avec un minimum de responsabilité.»

Et de poursuivre plus virulent encore. «À un moment donné, on n'a pas les mêmes objectifs de vie, la même passion. On ne peut pas avoir d'espérance quand on fait des matches aussi mièvres à domicile. C'est même plus fort qu'une prise de conscience qu'il faut... On a l'impression d'avoir vu jouer des vieillards ce soir. Pourtant en face, et malgré tout le respect que j'ai pour Toulouse, ce n'était pas le Brésil !»

Ses joueurs n'ont pas cherché à le contester, ni son entraîneur. «Si on a des faiblesses, alors on les a toutes exprimées aujourd'hui, a lancé Laszlo Bölöni. C'est rageant d'attendre un comportement de gladiateurs de la part des joueurs et de ne pas le voir. On a très mal commencé le match. Techniquement, on a fait beaucoup trop d'erreurs pendant vingt-cinq minutes. On a besoin de plus de valeurs individuelles» Le technicien roumain n'a pas nié certains mauvais choix de sa part, comme celui «de mettre Maoulida dans l'axe, parce qu'il n'était pas un joueur sur lequel on pouvait s'appuyer, et qu'il n'était pas présent dans la construction.»

À l'image d'Henri Bedimo, les joueurs lensois ont semblé sonnés. «C'est difficile de trouver les mots dans une soirée comme ça. On a joué à contre sens. On a subi le rythme de Toulouse. Il reste une dizaine de matches (onze exactement). Mathématiquement, on est encore en vie. Il va falloir sortir les couteaux, parce que ça commence à sortir très mauvais. Une victoire aujourd'hui pouvait nous permettre d'être près du wagon... C'est très difficile.» Et Bölöni de conclure pessimiste : «À ce moment précis, je ne vois pas de solution miracle pour remobiliser les joueurs. Le football donne la possibilité de ressusciter chaque semaine. Je constate qu'on n'est pas capable de profiter de ça.» - Antoine MAUMON DE LONGEVIALLE, à Lens

Gervais Martel en colère, il y avait longtemps !!!!

justement, est ce qu'il ne se met pas en colère trop tard?

Et ça se complique sérieusement : en gros pour espérer se maintenir, il faut gagner 5 matchs sur 11 alors que jusqu'à présent le racing n'a gagné que 5 matchs en 27 journées

Retour en l2.............dommage!!!!

Malheureusement, ça se profile doucement...

On peut dire ce que l'on veut de decourriere mais il a su toujours éviter la crise en allant pousser un coup de gueule dans les vestiaires du Mont Houy en tant voulu ... Pas d'état d'ame devant les caméras ...

Pour ce match je retiendrais le commentaire de I télé lors du resumé de ce match "Plus rien ne Bouge au racing Club de Lens ... Même pas le gardien de but !"

BENGAETLU a écrit:

"Plus rien ne Bouge au racing Club de Lens ... Même pas le gardien de but !"

Clair ! Et ça ne date pas d'aujourd'hui, je ne me rappelle plus de l'avoir vu plonger !

On a pourtant un gardien remplaçant, non ???