travaux à bollaert

C’est confirmé, le RC Lens est candidat à la réception de l’Euro 2016 dans la candidature française. Le gouvernement a en effet retenu les douze sites susceptibles de recevoir la compétition. Outre Lens, il s’agit de Paris, Saint-Denis, Lyon, Marseille, Toulouse, Rennes, Nantes, Bordeaux, Lille, Strasbourg et Nice. Grâce à cette nomination, les travaux de réfection du stade Bollaërt devraient pouvoir être accélérés. Ou tout du moins le financement facilité grâce à la loi sur les services touristiques, adoptée mardi par les députés, reconnaissant d’intérêt général un certain nombre de grands stades.

Parmi ces douze stades, seuls neuf seront retenus, les trois autres servant uniquement de solutions de repli. Le dossier français devra au plus tard être déposé le 15 février 2010 avant que l’UEFA ne rende sa décision sur le pays organisateur le 27 mai 2010.

allons nous retrouver une marek plus grande c'est ce qui se dit.........cela va être chaud à bollaert si nous revenons au même nombre qu'auparavant....

Beaucoup de chantier à lens ....

Pour avoir un premier aperçu du futur Bollaert:

http://www.rclens.fr/infos_2009/12/20_bollaert2014/index.php#

Première aperçu super

Extraits de l'interview de Gervais Martel au site offciel concernant les travaux à Bollaert:

Citation :

Quelle sera la capacité du futur Bollaert ?

« 44 000 places qui seront des vraies places ! On n’a pas uniquement traité les places privilégiées mais celles de l’ensemble du stade. On a travaillé au niveau du confort des sièges mais aussi au niveau "météorologiques" puisque toutes les places seront enfin à l’abri. On a aussi pensé au confort visuel car il n’y aura plus de poteaux dans le stade, ce qui gênait énormément pour de nombreuses places à Bollaert. Il est nécessaire de se mettre aux normes dans le football moderne. Il suffit de regarder le football allemand. Il a réussi avec la coupe du Monde 2006 à rénover ses stades. Aujourd’hui, la moyenne est de 47000 spectateurs. Avant cet événement, elle était de 35000. Pour des questions de confort, de sécurité et d’accueil, il y a eu un développement considérable. Il y a de plus en plus de femmes et d’enfants qui viennent au stade. On doit répondre à la demande de personnes qui viennent supporter leur équipe mais aussi assister à un spectacle. Ils doivent être reçus dans des conditions optimum. »

Les angles du futur stade Bollaert seront t-il fermés?

« Ils seront fermés, peut-être à moitié. Mais on y travaille encore avec les architectes. Les angles ne seront peut-être pas utilisables au niveau de l’ensemble de la capacité de la fermeture mais on est parti sur des angles fermés. »


Le stade Bollaert devait être initialement entièrement abrité. Le nouveau projet Bollaert comprend-il la même chose ou seulement la couverture des places ?

« Non, il n’y aura pas de couverture totale du stade. Je pense en revanche qu’il risque d’y avoir beaucoup d’évolutions concernant les pelouses. Je me demande si, en 2016, on ne jouera pas sur des pelouses synthétiques. Je suis récemment allé à la FIFA, et j’ai vu des terrains de dernières générations. On avait du mal à savoir si c’était une vraie pelouse ou du synthétique. Cela permettrait d'avoir un niveau de jeu qui soit égal dans tous les stades quelles que soient les intempéries. Il y a déjà beaucoup de pays européens qui utilisent des pelouses synthétiques. C’est ce que font la Suisse, l’Ecosse, dans les pays de l’Est également… Au Real Madrid, la moitié des terrains d’entraînement sont des synthétiques. »

Pendant les travaux de Bollaert où allons nous jouer ?

« A Bollaert ! Le seul problème, c’est la tribune Marek… Elle sera refaite complètement. J’ai demandé au bureau d’études de bien étudier le système de façon à ce que le kop puisse tout le temps fonctionner ! Le jour où l’on ouvrira la tribune Marek définitive, on finira les travaux à l’intersaison. Il est hors de question de jouer sur deux ou trois tribunes. »


Si la France n’était pas retenue pour organiser l’Euro 2016, la modernisation de Bollaert se ferait-elle quand même ?

« Il est impératif que l’on modernise Bollaert. On ne peut pas avoir le nouveau Louvre qui arrive à trois cent mètres, et laisser Bollaert en état, même si on a eu la chance d’avoir un stade précurseur grâce à André Delelis [ndlr. ancien maire de Lens]. Aujourd’hui, il faut que l’on évolue ! C’est un outil de travail essentiel. »