Gueugnon

Mikros a écrit:

Vous auriez pu vous qualifier!!!
On aurait eu un Gueugnon-VA!

A mais ça, ça aurai été fantastique, j'y ai pensé direct quand je l'ai su

Et me voilà

Désolé que certaines photos soit si grande je ne sais pas comment on fait pour les réduire lol

giogio1313 a écrit:

Oui et d'ailleurs un excellent match du petit Guillaume

Oui excellent dommage qu'il n'ai pas pu marqué et qu'on gagne

EAG1973 a écrit:

Le PSG peut encore dire merci a Landreau....

Ca tu l'as dit................. la frappe de Larsen en toute fin de match je la voyai au fond j'étais même parti pour m'accrocher au filet et finalement non

Gueugnon perd d'un souffle à Paris (1-0)
L'exploit était à portée de main



L'avant-centre et capitaine parisien Bonaventure Kalou est sous étroite surveillance. Ce qui ne l'empêchera pas d'inscrire l'unique but du match, celui de la délivrance pour le PSG, de la douche froide pour les vaillants Forgerons (photo PQR/Guy Gios/Le Parisien)

Des regrets, les Forgerons peuvent en avoir. Menés au score, ils ont disposé des occasions nécessaires pour arracher les prolongations. Mais Gueugnon sort avec panache.

Non, le F.C. Gueugnon ne réussira pas la passe de trois face au Paris Saint-Germain. Bien sûr, la logique a été respectée, l'ogre a eu raison de la vaillance du petit. Pourtant, sur le chemin du retour, les joueurs gueugnonnais ont dû tous se faire la même réflexion: il y avait vraiment la place pour continuer l'aventure, et rejoindre le voisin montcellien en 8e de finale de la coupe de France.
L'affaire s'était pourtant mal engagée pour des Forgerons très fébriles et incapables de repousser correctement des Parisiens désireux de jouer haut d'entrée. Et pour ne rien arranger, Adam, blessé, était obligé de laisser sa place à Acédo, Colleau reculant dans l'axe de la défense (9).

Après dix minutes au cours desquels Gueugnon souffre réellement, la partie va réellement s'équilibrer. Présents sur tous les ballons, les Jaune et Bleu ne laissent pas leurs vis-à-vis emballer la partie. Dans l'entre-jeu, Tsoumou, énorme, accompli un formidable travail de sape. Le PSG en est réduit à jouer latéralement, de manière presque arrêtée parfois, notamment en raison d'une pelouse déplorable. Néanmoins, chaque prise de balle de Gallardo et de Kalou sème parfois le trouble dans la défense bourguignonne, mais Morestin et Colleau finissent toujours par avoir le dernier mot. Paris s'entête à s'empêtrer dans l'axe à défaut d'utiliser les couloirs, impeccablement bloqués.
Solide, les joueurs de Victor Zvunka connaissent plus de difficultés à amener le danger vers le but de Landreau. Hauw ou Marty restent bien à l'affût de quelques ballons négligemment relancés par l'arrière-garde parisienne, mais Hoarau demeure bien trop esseulé en pointe.

A la pause, rien est fait. Mais les Forgerons sont persuadés d'une chose. Arracher la qualification au Parc des Princes ne relève plus de l'utopie. D'ailleurs, l'entraîneur gueugnonnais ne s'y trompe pas en faisant rentrer en piste ce feu-follet de Mohamed Louhkiar dès la reprise.
Le F.C.G. veut jouer tous les coups à fond, mais devra d'abord s'atteler à contenir les assauts de Parisiens désireux de mettre en coup d'accélérateur.
Il y aura bien cette frappe de Cissé (48) qui obligera Peiser à une superbe envolée, mais dans l'ensemble, les Parisiens ne réussissent pas à mettre la défense gueugnonnaise hors de position en ce premier quart d'heure. Paris piétine, use de longs ballons que les Forgerons tentent de remonter. Les enchaînements sont parfois intéressants, mais il manque cette éclair de génie dans les trente derniers mètres pour lancer quelques flèches.
La rentrée de Rodriguez
Paul Le Guen voyant ses joueurs faire du surplace, lance Rodriguez dans la bataille. L'Uruguayen du PSG donne immédiatement une nouvelle fraîcheur au jeu parisien. D'ailleurs, la sentence ne tarde pas d'arrivée. Sur un débordement côté gauche, il sert sur un plateau Kalou qui ouvre la marque (66).
Un autre match commence.Gueugnon doit se livrer davantage. Et en a clairement les moyens. Victor Zvunka passe à deux attaquants et fait rentrer Gomez. En face, Pauleta entre en scène. Les Forgerons sont pris entre deux feux. Chercher l'égalisation, mais éviter que l'Aigle des Acores n'enterrent définitivement tout espoir. Face à des Parisiens émoussés physiquement, les Jaune et Bleu poussent. Dans le temps additionnel, Touré oblige Landreau à se détendre, et sur un dernier corner, onze bourguignons - Peiser compris - prennent d'assaut le but côté Boulogne. Mais Hoarau décroisera trop sa tête.

L'aventure du F.C. Gueugnon se termine ainsi. Mais l'exploit était bel et bien à portée de main.

Noémi Predan

Réactions à chaud

Paul Le Guen (entraîneur du Paris SG)

« Je suis satisfait d'être qualifié, c'était l'objectif premier. Satisfait aussi d'avoir échappé à la prolongation car nous avons un match très important mercredi (face à Lille) et cela compte. J'ai aussi eu la confirmation d'un bon état d'esprit. Cela n'a pas été facile, sur une pelouse sur laquelle il est décidément très difficile de jouer. Mais je suis content, content qu'on ait réussi à prendre le dessus en deuxième mi-temps. Il n'y avait pas d'euphorie, de joie extraordinaire (dans les vestiaires), juste l'impression d'avoir bien travaillé ensemble... On a souffert un peu physiquement à la fin, mais c'est aussi un signe de fébrilité, un manque de maîtrise, de tranquillité... »

Victor Zvunka (entraîneur de Gueugnon)

« Le tournant du match pour moi est la blessure d'Adam car on perd un joueur important et je suis obligé de remodeler mon équipe. Je suis persuadé qu'avec Colleau (qui a pris la place d'Adam) on aurait eu plus de poids et d'impact au milieu. On a des regrets car le Paris SG n'a pas eu beaucoup d'occasions. Il y avait une petite place pour faire quelque chose. Le Paris SG avait plus à perdre qu'à gagner, il n'a peut-être pas été meilleur que face à Valenciennes et Toulouse, mais il a su rester bien en place.»

Après l'élimination de Gueugnon face au Paris-Saint-Germain (1-0)

Une arrière-goût de frustration



Jérémie Rodrigues (ici aux prises avec Gallardo) et les Gueugnonnais
ont pris conscience de leurs possibilités trop tardivement.

Les Gueugnonnais sont passés à côté de quelque chose de grand, dimanche au Parc. Trop timides, ils ont pourtant démontré en fin de match, qu'ils avaient les armes pour bousculer le PSG.

Les Forgerons sortent de la coupe, sans qu'ils aient donné l'impression d'avoir livré la pleine mesure de leurs possibilités au Parc des Princes.
Non pas que Gueugnon ait lésiné sur les efforts. «Je donne un grand coup de chapeau à mes joueurs», déclarait d'ailleurs Victor Zvunka, quelques minutes après la fin du match. Seulement, avec plus d'ambition dans le jeu, faire tomber un Paris Saint Germain encore malade était largement envisageable. Voilà pourquoi il y a de quoi ressortir frustré de ce match. «C'est dommage, j'ai un peu de regrets, reconnaissait Zvunka. Il y avait une petite place pour passer». L'entraîneur gueugnonnais, qui avait choisi d'aligner un milieu à cinq avec Touré à droite et Marty derrière l'attaquant, explique son choix: «Avec la force technique des Parisiens, j'ai estimé qu'il était obligé de densifier notre entre-jeu. Nous n'avions pas les mêmes armes. Nous avons lutté avec les nôtres».
Cette partie a connu deux tournants. Le premier, dès la 9e minute de jeu. Perdre un élément d'expérience tel qu'Adam pour une telle rencontre est forcément un handicap. Colleau a ainsi reculé dans l'axe, «ce qui nous a fait perdre de l'impact au milieu de terrain. Mais attention, je ne dis pas que le petit Acédo n'a pas été à la hauteur». Bombardé sur la pelouse du Parc des Princes alors qu'il n'a pas encore 20 ans, le jeune Gueugnonnais a connu un temps d'adaptation avant de monter en puissance.
Peiser peu sollicité
Le deuxième à la rentrée de jeu de Rodriguez, à un moment où les Parisiens commençaient à paraître émoussés physiquement. L'Uruguayen, a donné un soupçon de folie à une rencontre manquant cruellement de rythme. Son côté imprévisible a fini par faire la différence, en étant à l'origine d'un but sur lequel Peiser n'est pas exempt de tout reproche. Avant cette ouverture du score, le gardien forgeron n'avait pas été aussi sollicité qu'on aurait pu s'y attendre: un arrêt magistral sur une frappe soudaine de Cissé (48) et quelques sorties salvatrices dans les aires. Ca fait bien peu, surtout lors que l'on joue le PSG sur ses terres.
Non, Gueugnon n'a pas tant subi. Non, Gueugnon n'a pas outrageusement été dominé par Paris. Alors il y a de quoi sortir un peu frustré de ce match, au cours duquel les Bourguignons ont attendu les 10 dernières minutes pour se livrer à corps perdu en direction du but de Landreau, qui n'aura eu qu'une intervention à faire, sur la balle reprise de Touré (90). Jusqu'au bout, les Forgerons ont inquiété les Parisiens, Hoarau demeurant un danger constant pour un axe central du PSG particulièrement fébrile. Peut-être aurait-il fallu relâcher le frein à main plus tôt. Car Gueugnon est apparu trop impressionné par l'adversaire durant une bonne partie de la rencontre.

Noémi Predan du JSL de ce Jour.

SUPPORTERS DU FCG
Des souvenirs plein la tête malgré l'élimination



Les joueurs saluent leurs supporters


Pour ce premier grand rendez-vous de l'année 2007, plus de 700 supporters du FC Gueugnon ont fait le déplacement au Parc des princes pour assister au 16e de finale de la Coupe de France.
Dès 7h15, de nombreux supporters sont déjà présents autour du stade Jean Laville. Une heure plus tard ce sont 8 bus qui quittent la cité des forges en direction de la capitale via Bourbon-Lancy et Nevers.

L'ambiance y est très festive et de nombreux chants animeront le trajet. A dix heures, les bus s'arrêtent une première fois sur l'aire des vignobles pour une pause d'une demi-heure.

A midi les bus s'arrêtent une seconde fois au péage de Nemours où les motards de la police attendent les bus pour les escorter jusqu'au stade. Le défilé prend alors une dimension inimaginable, les motards bloquent la voie de droite ainsi que toutes entrées d'autoroute afin de permettre aux autocars de rouler en sécurité sur la voie centrale. Les usagers n'ont quant à eux plus que la voie de gauche pour dépasser le cortège. A l'entrée de Paris la sirène de Police retentit et les feux rouges deviennent alors transparent pour permettre une arrivée plus rapide rue Jean Bouin. A 13h30 les supporters peuvent enfin quitter leur bus avec un passage obligatoire par la fouille. Puis ce sont autour des cavaliers de la Garde Républicaine d'escorter le cortège encadrés par les CRS jusqu'à l'entrée du parcage visiteurs.

A peine rentrée dans le parc des Princes les supporters forgerons donnent alors de la voie et agitent de multiples drapeaux et étendards aux couleurs du FCG.

Durant tout l'échauffement ce sont d'ailleurs les Ultras Gueugnon qui mettent le feu dans un parc déserté par de nombreux supporters. A l'entrée des joueurs les UG dévoilent alors le tifo préparé dans la semaine composée d'un voile rayé horizontalement jaune et bleu et deux banderoles : '2000 - 2003 - 2007', 'Jamais deux sans Trois'.

A cet instant les supporters du Paris Saint Germain dont les 'Lutece Falco' et les 'Supras Auteuil' prennent alors l'ambiance en main et le parc qui résonnait creux 10 minutes auparavant devient enfin la caisse de résonance que l'on connaît. Durant les 45 premières minutes, les supporters gueugnonnais ne cessent de chanter accompagnés de leurs amis wasqualiens toujours présent à leur côté. Les UF Paris présidé par Fred Segaud sont bien évidemment également de la partie pour donner au parcage gueugnonnais une vraie ambiance de coupe.

La deuxième mi-temps sera quant à elle plus terne dans le parcage même siles encouragements ne cesseront jamais. Il faut attendre le dernier quart d'heure et la rentrée du chouchou Diego Gomez pour voir les encouragements redoublés. Le parcage est alors bouillant et est proche de l'explosion quand dans les arrêts de Jeu Larsen Touré butte sur Mickaël Landreau.

A la fin du match, les joueurs accompagnés de Victor Zvunka viendront remercier leurs supporters qui devront attendre une demi-heure après le coup de sifflet finale pour regagner le bus puis la Saône et Loire. Cette journée se sera passée sans soucis grâce à la très bonne organisation de Richard Rullaud, Jean Pierre Genot et toute leur équipe. La présence de 700 CRS autour du stade n'étant qu'anectodique mais indispensable dans le foot aujourd'hui.

Trop deg d'avoir fait 1-1 contre Créteil équipe qui était largement à notre portée surtout avec les occasions que nous avons raté qui aurai du tuer le match..................... tant pis nous avons perdu 2pts ce qui est vraiment dommage

Gueugnon perd deux points face à Créteil (1-1)
Par excès de facilité

Gueugnon avait le match en main, trop bien en main. Incapables de se mettre à l'abri au plus fort de leur domination, les Forgerons se sont finalement fait rejoindre par les Cristoliens.

Gueugnon avait largement les arguments pour venir à bout de Cristoliens coriaces mais limités techniquement. Sur la lancée des prestations offertes dernièrement devant leur public, les Forgerons prenaient un malin plaisir à exploiter les espaces, à prendre à revers la défense adverse en l'espace de deux passes. Gueugnon avait d'ailleurs logiquement ouvert la marque, par l'inévitable Guillaume Hoarau. Mais Gueugnon ne parvint jamais à enfoncer le clou. Et ce qui devait arriver arriva: Créteil vient chiper un point chez des Bourguignons qui avaient pourtant toutes les cartes en main.

Oui, les Forgerons rassurent rapidement les rares supporters venus braver le froid. Les joueurs de Victor Zvunka n'ont pas laissé leur confiance dans les vestiaires du Parc. D'emblée, ils bousculent leurs adversaires, bien incapables de freiner l'ardeur de Gueugnonnais bien décidés à faire la différence rapidement. Colleau est souvent aux manettes pour aller servir un duo d'attaque Hoarau-Touré intenable. Quand il le faut, l'attaquant prêté par le HAC n'hésite pas à «gratter» quelques ballons dans l'entre-jeu, tandis que sur son côté droit, Gomez fait boire le bouillon à Loja. On sent bien qu'à ce rythme-là, l'arrière-garde cristolienne ne va pas tenir le choc très longtemps. D'ailleurs, le Réunionnais et l'Argentin sont à la baguette pour l'ouverture du score. Hoarau sert dans la profondeur Gomez, qui adresse un centre millimétré, au deuxième poteau. Le joker gueugnonnais est à la réception, et bat Trivino d'une splendide reprise de la tête (20). Dans la foulée, les deux compères remettent ça, mais cette fois-ci Hoarau manque le cadre (22).

Gueugnon a une telle mainmise sur la rencontre que tout le monde attend le break. Créteil, très prudent jusqu'à ce but, tente cependant de sortir de sa réserve. Il y a bien quelques centres qui passent devant les cages de Peiser sans trouver preneur, mais globalement, Morestin et les siens font preuve d'une belle autorité. Les Gueugnonnais parviennent à la pause avec ce but d'avance, un avantage bien minimum eut égard à leur domination en première période.

Excès de confiance
A la reprise, le scénario n'a pas vraiment changé, même si Trivino n'est pas vraiment sollicité. Gueugnon trouve encore les décalages, bénéficie d'excellentes situations aux 20 mètres mais pêche dans la dernière passe. En excès de confiance, les Jaune et Bleu tentent beaucoup, mais manque trop souvent de réalisme dans la zone de vérité face à une défense loin d'être naïve. Pendant ce temps, les Franciliens se rebiffent. Plus déterminés, plus présents dans les duels, ils bénéficient de contres de plus en plus dangereux, souvent orchestrés par le jeune Pancrate. Et alors que les Forgerons ne réussissent pas à marquer ce deuxième but qui assommerait définitivement les hommes d'Artur Jorge, Rui Pataca part à la limite du hors pour servir sur un plateau Pancrate, dont la reprise fait mouche (69).

Gueugnon a beau sonner la charge, rien n'y fait. Louhkiar, en excellente position, manque le cadre (78). En réponse, Khenniche brûle la politesse à la défense gueugnonnais mais bute sur un Peiser inspiré (85). Hier soir, les Gueugnonnais avaient les armes pour l'emporter. Mais ils auraient également pu tout perdre.

Noémi Predan

FCG 3-0, Châteauroux, net et sans bavure

Les Forgerons redeviennent intraitables à domicile!
Ils enchaînent en effet un 5 ième match sans défaite à Jean Laville.
Les Castelroussains n'auront fait illusion que les 25 premières minutes avant de craquer devant la furia Gueugnonnaise.

Les Berrichons entrèrent pourtant bien dans le match en mettant en danger Romuald Peiser à plusieurs reprises.
Guillaume Hoarau aurait cependant pu ouvrir le score de la tête suite à un corner à la 20 ième.
C'est Alexandre Haw qui ouvrait le score à la 32 ième en fusillant Fernandez d'une belle frappe.

Les Forgerons dominèrent ensuite la fin de la première période.
Alors que l'on s'acheminait vers la pause,Guillaume Hoarau profitait d'une longue ouverture de Abderaouf Zarabi et d'une légère mésentante dans l'arrière garde de la Berrichonne pour marquer son 6 ième but sen 8 matchs de championnat.

Le second acte consista en une longue domination des Gueugnonnais qui maitrisèrent sans problème le jeu.
Florent Marty profita d'un bon travail du trio Licata-Hoarau-Tsoumou pour ajuster le gardien de Châteauroux de l'intérieur du pied gauche à la 80 ième.

L'ensemble de l'équipe est à créditer d'une bonne note.
On aura apprécié le très bon retour de Philippe Corréia après une longue absence.
L'avant centre local,Guillaume Hoarau aura une nouvelle fois éclaboussé de sa classe la rencontre.
Celui-ci fut à l'origine et à la conclusion de très nombreuses occasions.

Les têtes sont dorénavant tournées vers Dijon et le derby de Bourgogne.
Nos représentants auront certainement à coeur d'effacer la défaite du match allé.
Nul doute qu'ils seront encouragés par de nombreux supporters qui n'hésiteront pas à faire le déplacement.

http://www.fcgueugnon.com

flo71 a écrit:

[b]Les têtes sont dorénavant tournées vers Dijon et le derby de Bourgogne.
Nos représentants auront certainement à coeur d'effacer la défaite du match allé.
Nul doute qu'ils seront encouragés par de nombreux supporters qui n'hésiteront pas à faire le déplacement.

Et bien entendu j'y serai

salut flo , belle perf de gueugnon hier soir . en effet le derby arrive , j'espere que nous montreront un autres visage que clui d'hier soir , a vendredi .

Désolé mais je n'ai pas envie que vous montreriez un autre visage
Nous on ne pense qu'à une chose, c'est de gagner chez vous. La défaite de l'année dernière nous reste en travers la gorge encore et on espère que l'on va continué après cette belle victoire face à Chateauroux et surtout que l'on va vous passez au classement...............................
Réponse vendredi soir à GG
ALLEZ GUEUGNON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

flo71 a écrit:

Désolé mais je n'ai pas envie que vous montreriez un autre visage
Nous on ne pense qu'à une chose, c'est de gagner chez vous. La défaite de l'année dernière nous reste en travers la gorge encore et on espère que l'on va continué après cette belle victoire face à Chateauroux et surtout que l'on va vous passez au classement...............................
Réponse vendredi soir à GG
ALLEZ GUEUGNON!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ha revanchard notre cher flo , je ne pense pas qu'ont se prenne des volees a tout les matchs et encore moins contre gueugnon . peut etre qu'il y auras de la revanche dans l'air comme tu le dit mais ont auras quand meme a coeur de se remettre apres 5 matchs sans victoire d'affiler et vous serez le meileur test match pour la prochaine journee shussssss.

Voilà comme vous l'avez vu nous avons perdu le match le plus important de l'année

Maintenant cela fait 6 matches que nous jouons contre Dijon depuis qu'il sont montés et nous n'avons toujours pas marqué le moindre but nous sommes vraiment très déçu mais que voulez-vous c'est le foot.........................

Les années se suivent et se ressemblent quand il s'agit de rencontrer Dijon.
Comme l'an dernier, les Forgerons ont dû s'incliner à Gaston Gérard.

Les Gueugnonnais commençaient le match timidement au point d'être bousculés par l'attaque Dijonnaise.
Ils reprenaient ensuite le dessus en maîtrisant assez bien le match.
Alexandre Hauw, bien lancé par Larsen Touré, servait sur un plateau Guillaume Hoarau qui n'appuyait pas assez sa frappe.
Les Jaunes et Bleus ne profitèrent pas de leur maîtrise du jeu pour ouvrir le score.

Alexandre Hauw, victime d'une agression de la part de Boudarène, devait quitter le terrain à la 35ème au profit de Florent Marty.
La pause était atteinte sur ce score vierge.

Le FCG débutait la seconde période contre le vent.
Notre Club éprouvait les pires difficultés à se procurer des occasions.
Fabrice Colleau, victime d'un coup de genou dans le dos, devait également quitter ses co-équipiers.

La seconde période fut assez pauvre en occasions de part et d'autre.
Le fort vent qui s'était levé y fut certainement pour quelque chose.
Alors que l'on s'acheminait vers la fin du match, le DFCO inscrivait le seul et unique but de la partie à la 80ème.
Le FCG ne put mettre en danger l'arrière garde Cote-d'Orienne.

Cette seconde manche du Derby laisse un arrière goût amer au FCG.
Amer parce que qu'il s'est une nouvelle fois incliné contre son voisin Bourguignon.
Amer parce que son équipe revient avec 2 blessés.
Amer enfin, parce qu'il a la légitime impression que les pressions perpétuelles portées par l'entraîneur Dijonnais sur le corps arbitral ont quelque peu faussé certaines décisions en toute fin de match.

Le FCG remercie les courageux supporters qui ont fait le déplacement et qui ont dû rester l'ensemble du match sous la pluie. Bravo à eux !

flo71 a écrit:

Le FCG remercie les courageux supporters qui ont fait le déplacement et qui ont dû rester l'ensemble du match sous la pluie. Bravo à eux !

Et oui le parcage dans ce stade de merde n'est pas couvert nous étions bien trempés, on aurait sauté dans une piscine ça aurait été la même chose tellement l'on été trempé.............................

Photo prise en début de match

flo71 a écrit:

flo71 a écrit:

Le FCG remercie les courageux supporters qui ont fait le déplacement et qui ont dû rester l'ensemble du match sous la pluie. Bravo à eux !

Et oui le parcage dans ce stade de merde n'est pa couvert nous étions bien trempés, on aurait sauté dans une piscine ça aurait été la même chose tellement l'on été trempé.............................

etant a votre opposer , ont en a pris autant sur la gueule , c'est sur ont a pas le plus jolie des parkages visiteur , mais il faut remarquer que le votre n'a pas de toiture non plus

Vu que vous êtes en bas de votre tribune le vent rabattait bien la flotte

Oui mais nous quand il pleut on met les supp visiteurs en tribune nord qui est couverte

Il devrait bientôt la couvrire cette tribune EST mais quand.................................... ça fait 4ans qu'ils en parlent

De plus la travaux de la tribune nord qui devait commencé sont repoussés car Montceau disputera encore son match de coupe de France chez nous