[infos] Equipe de France

Duroc' 51 a écrit:

Citation :

Frédéric Thiriez : «Je suis très choqué»


Il faut que l'éducation soit reprise à la base.Il n'est pas tolérable que des imbéciles sifflent la Marseillaise. J'en appelle au respect des autres et des valeurs du sport."

waouh, quelle belle intervention


pour en revenir à ce manque de respect, on avait déjà évoqué des mesures lors des sifflets de france-algérie, bastia-lorient et france-maroc hein ... et ça continue pourtant

Moi je suis pour le boycott de ces équipes durant une période définie.........même si ces équipes n'y peuvent rien et que ce sont les supporters qui sont en cause...........mais faut un exemple........

franchement, je sais pas si ça sert à quelque chose de faire ça... ces gars là pourront toujours aller dans le stade, quel que soit le match, parce que ça m'étonnerai que ça soit les "résident" marocains ou encore tunisien qui viennent siffler, mais bien comme l'a dit malik, la 2e ou 3e génération d'immigré, donc bel et biens des français (et puis peut être d'autres aussi, j'étais pas sur place, j'ai pas pu constater)! qu'est-ce qui peut les empêcher d'aller à nouveau dans un stade et de siffler l'hymne?

L'Équipe.fr - Foot - Bleus - Les révélations de Gallas



William Gallas confirme dans son autobiographie à paraître aujourd'hui aux Editions du Moment certaines tensions apparues lors du dernier Euro. Le défenseur d'Arsenal revient notamment sur l'épisode du bus où un jeune Bleu avait pris la place de Thierry Henry. Il révèle avoir lui aussi eu «un petit accrochage» avec ce même joueur. «Un coup de sang», comme il le raconte.

«Nous voilà en plein entraînement, des petits jeux, comme souvent. On me transmet le ballon, je ne vois pas qui est derrière moi. (...) Si ton coéquipier te dit "ça arrive", tu sais tout de suite que tu dois la jouer en retrait. Et là, il ne dit rien ! (...) Un adversaire surgit et spontanément, je crie : "Mais parlez les gars, donnez-moi l'information !" Un des deux en face de moi se tait, l'autre me lance : "T'as qu'à prendre l'information avant, t'as qu'à le savoir toi même !"»

«Moi aussi, j'ai eu vingt ans, poursuit Gallas. Jamais je ne me serais permis de parler sur ce ton à un joueur plus âgé que moi. (...) Les jeunes de cet Euro semblent culottés, très sûrs d'eux. Ils pensent tout connaître, mais ils ne savent rien. (...) Face à son mépris, je hausse le ton.

Le jeune joueur : "Baisse le ton, parle mois fort.

- Comment tu me parles ? Pour qui tu te prends ? T'as que vingt ans, je ne suis pas ton ami.

- Moi non plus, je ne suis pas ton ami !"»

Gallas explique que par la suite le joueur concerné a fini par reconnaître ses torts. Il ne souhaitait pas citer de nom dans son autobiographie, mais comme L'Equipe le révélait juste après l'Euro, la personne mise en cause dans l'incident du bus n'était autre que Samir Nasri, qui est depuis devenu son équipier à Arsenal. D'une manière générale, l'international français reproche à la nouvelle génération de ne pas être assez respectueuse. En club, comme en sélection.

sa fuse en ce moment dans les livres de footballeur ^^

Ben entre les gars pas motivés et les langues de p*tes, ben on a une chouette équipe dis donc!!!

serieux pour une place dans le bus !!faut arreter les conneries!!vous etes QUE des joueurs de foot!!!! ca me degoute du foot serieux!!!

On parle des jeunes qui manquent de respect aux anciens en leur prenant leur place, mais quand tu cèdes ta place à une vieille dans le bus et qu'elle ne te remercie pas, qui manque de respect à qui ?

Totti a écrit:

On parle des jeunes qui manquent de respect aux anciens en leur prenant leur place dans le bus, mais quand tu cèdes ta place à une vieille dans le bus et qu'elle ne te remercie pas, qui manque de respect à qui ?

C'est vrai ça ou tu te fais à moitié insulté parce que tu n'as pas été assez rapide pour laisser ta place !

allez on continue dans les grandes réflexions philosophiques des joueurs français avec Sébastien Frey

L'équipe a écrit:

Foot - Bleus - Frey jette le trouble

Sébastien Frey, le gardien de but de la Fiorentina (deux sélections en équipe de France), a commis samedi une déclaration sur l'immigration qui fait pour le moins débat. À la question du magazine italien Sportweek, le supplément de la Gazzetta dello sport «À quel niveau sommes-nous, en Italie comme en France, sur le chemin de l'intégration raciale ?», Frey répond : «Au point mort parce que tant en France qu'en Italie nous n'avons pas fixé de limites et de règles sûres. C'est une chose qui devait être faite il y a plusieurs années. J'ai une maison sur les hauteurs de Nice et, le soir, j'ai peur de descendre en ville parce que circulent, sur les routes, des bandes qui font peur. Et puis, l'équipe de France : elle est désormais composée presque uniquement de Noirs. Ce sont sûrement les plus forts, mais...» L'Equipe a essayé sans succès de joindre le joueur de 28 ans pour lui demander confirmation de ses propos troublants.

bravo sébastien...

Rien à rajouter, ça sent la finesse d'esprit... N'est-ce pas!

Ah celui-là, qu'est-ce qu'il ne serait pas prêt à faire pour être sous les projecteurs!

Duroc' 51 a écrit:

Rien à rajouter, ça sent la finesse d'esprit... N'est-ce pas!

Ah celui-là, qu'est-ce qu'il ne serait pas prêt à faire pour être sous les projecteurs!

y a pas à dire : les footballeurs ne sont pas faits pour parler

Après les noirs, les Roumains!!!

footmercato a écrit:

Polémique : Frey tente de se justifier

07/12/2008 - 16 h 48 - Fabien Piégay

Les footballeurs sont souvent moqués pour leurs discours formatés et plats. Parfois, certains tentent de sortir des chemins battus et se lancent sur des sujets autres que le sport, sans forcément les maîtriser. Ce fut le cas récemment de Sébastien Frey qui a abordé le sujet de l’intégration de manière pour le moins maladroite, ce qui donna naissance à une forte polémique.

Conscient du tollé provoqué par ses propos, l’ancien gardien international a tenté de s’en expliquer dans les colonnes du 10 Sport, espérant ainsi justifier et calmer l’ardeur de débats. « Ce sont des propos sortis de leur contexte. Quand je dis que l’équipe de France est désormais presque uniquement composée de Noirs, c’est vrai. Ils sont sûrement plus forts. Je m’arrête là. Il n’y a jamais ce fameux « mais… » à la fin de ma phrase, et qui est lourd de conséquences. J’ai grandi avec des Noirs et des Maghrébins pendant des années. Je jouais tout le temps avec eux. C’est scandaleux d’avoir fait ça. Une telle incompétence, une telle méchanceté, c’est dingue. En Italie aussi ça peut craindre le soir, il y a des Roumains. A chaque grande ville ses problèmes de sécurité. J’ai seulement eu une réaction de père de famille. C’est tout ! » explique le Florentin.

Pas sûr que cette déclaration ne vienne mettre fin à la polémique. En effet, si le joueur tente de minimiser ses propos, il maintient son parallèle douteux entre origine et insécurité tout en montrant du doigt la population roumaine, déjà fortement stigmatisée en Italie.

il a encore perdu une bonne occasion de se taire je pense...

Pour faire le tour, il lui reste encore à se fâcher avec les Asiatiques mangeurs de nems dans une prochaine itw...

Vraiment, ça en devient ridicule et pitoyable!

Un conseil Séb : boucle-là!

Le ridicule ne tue pas...

De mieux en mieux...

Je pense qu'il est temps de faire un petit point sur nos sélectionnables, nous avons donc :

-des mecs qui s'en foutent (Anelka)
-des balances (Gallas)
-des mecs qui pleurent parce qu'on leur a pris leur place de bus (Henry)
-des anti-noirs accessoirement anti-roumains (Frey)

Il nous manque plus qu'un serial Killer, un adorateur de Satan et un communiste pour qu'on ait une équipe de choc!

Emile Louis, Marylin Manson et Robert Hue en équipe de France!!!

chnord a écrit:

Il nous manque plus qu'un serial Killer, un adorateur de Satan et un communiste pour qu'on ait une équipe de choc!

je préfère un sataniste à un intégriste catholique ou musulman
(petit HS : tiens, ça me rappelle 2 copines satanistes quand j'avais 16 ans ... , fin du petit HS)


et je préfère encore un communiste à un patron du MEDEF

chnord a écrit:

footmercato a écrit:

Polémique : Frey tente de se justifier

07/12/2008 - 16 h 48 - Fabien Piégay

« En Italie aussi ça peut craindre le soir, il y a des Roumains. A chaque grande ville ses problèmes de sécurité. » explique le Florentin.

il faut bien insister sur le verbe "tenter"

énorme

le mec tente de se trouver une excuse et il s'enfonce encore plus


allez seb, essaye encore de te justifier qu'on rigole

Inter : Vieira pourrait arrêter les Bleus
Dans un entretien accordé à l'Equipe, le milieu de terrain de l'Inter Milan, Patrick Vieira, évoque la possibilité de mettre un terme à sa carrière en équipe de France si les blessures continuaient à l'handicaper.
En proie à des problèmes musculaires récurrents, Patrick Vieira pourrait prendre la décision d'arrêter sa carrière en équipe de France si les blessures persistaient encore : « Il est certain que si mes blessures venaient à persister, il faudrait que je prenne une décision. Laquelle ? Arrêter l'équipe de France... J'en ai peut-être ras-le-bol des blessures à répétition. Il faut voir la vérité en face, si un tel scénario se produit, ça me briserait le cœur, mais j'arrêterai la sélection. »

Vieira et les Bleus, c'est fini ?
Eurosport - jeu, 15 janv 10:21:00 2009

Dans un entretien accordé à l'Equipe, le milieu défensif et capitaine de l'équipe de France, Patrick Vieira, avoue se poser des questions quant à son avenir en Bleu. Ses multiples blessures le poussent à envisager une retraite anticipée en sélection.

Un statut de capitaine en équipe de France et 106 sélections en Bleu pèseront-ils plus lourd que les sempiternelles blessures ? Patrick Vieira est face à un choix, un dilemme cornélien. Continuer sa carrière en Bleu au risque de compromettre sa carrière tout court ou quitter la sélection nationale pour soulager son corps et se donner les moyens de briller en club. "Il est certain que si mes blessures venaient à persister, il faudra que je prenne une décision (...), sûrement d'arrêter l'équipe de France", déclare ainsi l'Intériste dans les colonnes de l'Equipe.

Accablé par les pépins physiques, Vieira n'a disputé que deux rencontres en 2008 avec l'équipe de France. Actuellement touché au tendon d'Achille, l'ancien Gunner d'Arsenal va achever sa convalescence à Saint-Raphaël et pense reprendre l'entraînement dans une dizaine de jours. Sa dernière apparition sur un terrain remonte au 22 novembre dernier. Une situation qui le pousse donc à envisager une retraite internationale. "Je ne me vois pas rejouer cinq ou six matches, revenir en sélection puis m'arrêter de nouveau deux ou trois mois sur blessure" (...) "Si un tel scénario se reproduisait, cela me briserait le c&oeligur mais je tirerais un trait sur la sélection. S'il faut arrêter les Bleus... ".

Ses interrogations peuvent également naître des pressions exercées par Jose Mourinho, son coach à Milan, à son égard. Le technicien portugais n'a que peu goûté aux dernières convocations de son milieu défensif chez les Bleus. Vieira était alors convalescent et Mourinho n'a pu l'aligner qu'à dix reprises cette saison. La guerre larvée entre Mourinho et Domenech est donc sans doute entrée dans la réflexion de l'ancien Turinois. Quoi qu'il en soit, la retraite internationale de l'un des deux derniers champions du monde 98 encore appelé avec les Bleus signifierait la fin d'une aventure marquée par les plus belles heures du football français. Mais ,à 33 ans, Vieira n'a pas encore pris de décision ferme et définitive quant à son avenir en sélection. C'est sans doute l'évolution de son état de santé qui lui permettra de trancher.

M.M / Eurosport

déjà que j'ai des doutes quand à son avenir de joueur tout court (il a pas du jouer beaucoup de matchs depuis la coupe du monde), je pense qu'on ne doit pas s'appuyer sur lui pour l'EDF, trop souvent blessé...

la fin de la carriére ....

Foot - ESP Pires : «Domenech est marrant»
mer 21 jan, 17h03



En début de semaine, Robert Pires a rendu visite à l'équipage français K-Challenge, en stage d'entraînement sur sa base de Valence en Espagne. «Curieux de voir le monde de la voile, fasciné par la communion qui existe entre les hommes sur un bateau», et content de croiser là son ami de l'époque londonienne et néo-marin, le rugbyman Raphaël Ibanez, l'attaquant de Villarreal a quand même parlé foot à notre site. Toujours avec naturel et franchise. La preuve.

«A l'intersaison, vous affirmiez que Villarreal était candidat au titre. Qu'en est-il aujourd'hui ?

(Rires...) On fait une bonne saison ! Après un passage difficile dernièrement avec trois défaites successives (1), tout va très bien par rapport aux objectifs du club : on est cinquièmes, toujours en course pour se qualifier pour la prochaine Ligue des champions et on va bientôt jouer les huitièmes de finale de l'édition en cours...

... où vous affronterez le Panathinaikos. Ce tirage vous perme-t-il d'espérer aller au bout ?

On va le tenter bien sûr. Le tirage aurait pu être pire, c'est certain. On a un bon coup à jouer. Mais c'est aussi le match piège par excellence. Cette équipe a quand terminé en tête de son groupe devant l'Inter, donc cela prouve sa valeur. Si on part avec l'idée que l'on va se qualifier sans problème, on passera à la trappe. Mais connaissant le coach, on ne tombera pas dans ce travers.

Justement, on dit le plus grand bien de Manuel Pellegrini (2). Certains en font même le Mourinho chilien en plus âgé...

Il a le potentiel pour connaître la même trajectoire. C'est un amoureux du foot, un vrai passionné de son métier, de son équipe. Il aime la voir pratiquer un bon football et c'est ce qui se passe, je crois. Sa carrière progresse à l'image de Villarreal qui doit beaucoup à cet homme, qui a déjà l'expérience d'un titre en Argentine, et surtout des valeurs. C'est un fort caractère, il ne cache rien, dit ce qu'il pense de manière franche. Je trouve que c'est intéressant pour faire avancer une équipe. En tout cas moi je me régale à évoluer dans cette formation.

De là de gagner la Liga, tout de même, vous étiez allé fort...

Quand j'ai dit ça, avant le début de saison, Villarreal pouvait vraiment postuler ! Mais c'était sans compter sur le parcours exceptionnel de Barcelone qui a fini la première phase à cinquante points et qui impose une cadence infernale sur le championnat. La preuve avec le Real Madrid et Séville qui sont relégués à douze points derrière.

Quel regard portez-vous sur ce Barça ?

Je suis comme le public. Quand on est amoureux du foot, on ne peut que se régaler en regardant jouer cette équipe. C'est un jeu simple, rapide fait de temps en temps d'un peu de fantaisie grâce à des joueurs très doués et au-dessus du lot. Barcelone est sans conteste la meilleure et la plus belle équipe d'Europe en ce moment.

A l'origine de cette hégémonie, entre autres, le grand retour de Thierry Henry, un peu décrié l'an passé...

(Il coupe...) Un peu ? Beaucoup oui !

Vous vous attendiez à ce scénario le concernant ?

Je savais qu'il reviendrait au top. Je l'ai dit l'an dernier quand la presse espagnole ne lui faisait aucun cadeau. Il était attendu comme le meilleur joueur en Europe et cela a été pénible pour lui. L'adaptation n'a pas été facile car il a dû s'acclimater non seulement à un nouveau cadre de vie mais aussi à une nouvelle forme de jeu après tant d'années à Arsenal et à un repositionnement sur le terrain en étant déplacé à gauche. Il fallait juste un peu de temps. Une année pour se faire à ce grand changement, c'est normal ! Aujourd'hui on retrouve Thierry Henry à son meilleur niveau. Il travaille dans un autre registre, sa position et son rôle sont différents mais il a retrouvé ses qualités de buteur, c'est important pour lui, et il est à nouveau à l'aise et dans l'équipe hors et sur le terrain.

En équipe de France aussi, il joue à gauche, désormais. Ce qui d'ailleurs condamne presque Florent Malouda, lequel a échangé à nouveau quelques petites phrases avec Raymond Domenech par presse interposée la semaine passée. Avec le recul, vous vous dîtes que vous aviez raison (3) ?

(Il sourit...) Cela fait quatre ans que j'ai raison concernant Domenech ! Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise de plus ? Moi j'ai rien à ajouter si ce n'est que la preuve est là par rapport à certains choix et certains résultats. Il ne faut pas s'attendre à des miracles...

Mais sur le fond, un Malouda a-t-il sa place ?

Là, il revient de blessure, donc c'est compliqué. Mais sinon oui, il a sa place dans le groupe. Il a été l'un des joueurs importants à une époque aux yeux de Domenech. Le sortir car il a décidé de parler, c'est injuste. Maintenant, j'ai bien aimé la petite phrase du sélectionneur : « La porte n'est pas fermée ». Celle-là, il l'a dite à tout le monde. (Ironique) Il est marrant, c'est bien...

Vous rester néanmoins optimiste quant à l'avenir de l'équipe de France ?

Elle va progresser, les joueurs sont pros, bon esprit, et savent ce qu'il faut faire. Je la vois se qualifier pour le Mondial, c'est certain. Aucun souci, on verra les Bleus en Afrique du Sud. Après, une fois là-bas, ce sera une autre histoire...

Et l'avenir de Robert Pirès, c'est quoi ? Revenir à Metz ou finir au Portugal comme vous l'évoquiez il y a quelques années ?

J'ai dit beaucoup de choses mais ça c'était il y a dix ans ! Aujourd'hui, oui je suis en fin de contrat. Mon ambition, ma priorité, c'est de poursuivre à Villarreal. Je dois rencontrer les dirigeants bientôt, j'en serai plus alors quant à la saison prochaine. Mais je ne suis pas inquiet.

Vous avez 35 ans, vous avez déjà connu énormément de choses, gagné des titres. Vous n'avez toujours pas envie d'arrêter ?

Non, impossible... Les deux opérations du genou m'ont fait perdre du temps sur le moment, d'autant que la première m'a fait manquer une Coupe du monde (NDLR, en 2002) mais après réflexion, c'est aussi ce qui me permet de continuer à haut niveau avec plaisir à 35 ans.

Peut-on imaginer un retour en L1 comme Giuly ou Makelele ?

En tout cas, je ne dirai pas non à des propositions françaises intéressantes. S'il y en a...

Propos recueillis par Benoît PENSIVY, à Valence

(1) Autour des fêtes, Villareal a enchaîné trois défaites face à ses rivaux, à Séville (0-1), à domicile face au Barça (1-2) puis au Real Madrid (0-1), avant de faire match nul à Valence (3-3) et de retrouver la victoire le week-end dernier face à Majorque (2-0). Villarreal est cinquième.

(2) Agé de 55 ans, cet ancien sélectionneur chilien des moins de 20 ans a entraîné plusieurs clubs d'Amérique du Sud, dont River Plate avec lequel il a été champion d'Argentine, avant d'arriver à Villareal en 2003.

(3) Avant la demi-finale de la Coupe du monde 2006 contre le Portugal, Pires avait déclaré à L'Equipe que Raymond Domenech n'était pour rien dans le bon parcours des Bleus : « Pour moi, oui, bien sûr. Mais cela n'engage que moi. (...) Je sais des choses. (...) Je rigole. Je n'irai pas plus loin. Ils ont une demi-finale à préparer. L'équipe de France sera championne du monde grâce aux joueurs.»