Ligue des Champions 2006-2007

surtout que c'est le seul but du match!!

La Voix du Nord - 02/11/2006

Les dieux n’étaientpas lillois
LIGUE DES CHAMPIONS Tombé à dix contre onze dans la chaleur du Stade olympiqueface à l’AEK (1-0), hier soir, le LOSC devra l’emporter dans quinze jours
En infériorité numérique après une expulsion précoce de Tavlaridis, les Lillois ont manqué une occasion de se rapprocher de la qualification, hier soir à Athènes (1-0), d’autant que Milan, qualifié, avait battu Anderlecht (4-1). Et ils ont indirectement relancé l’AEK.
À ATHÈNES, PAR ANTOINE PLACER

L’AEK Athènes a enfin remporté un match en Ligue des champions. Cela fait une belle jambe aux Lillois, qui ont eux manqué l’affaire du jour, hier soir à Athènes : Anderlecht battu par Milan, il y avait une opportunité à saisir pour s’émanciper en tête du groupe H. Seulement, plombés par l’expulsion de Tavlaridis au bout de 22 minutes, ils se sont surtout attelés à défendre, avant de craquer en fin de rencontre sur une frappe lointaine de Liberopoulos (74e).
L’expulsion de Tavlaridis, qui ne réconciliera pas Claude Puel avec les arbitres anglais, changea en effet considérablement la donne du match. Averti au bout de trois petites minutes pour un tacle engagé sur Liberopoulos, le défenseur grec vit carrément rouge en bousculant Hetemaj le long de la ligne de corner (22e). Sa nervosité puis sa sortie dans un contexte hostile ne favorisèrent évidemment pas le bon développement du jeu lillois.
Dommage car Bodmer, sur un deuxième ballon (8e), Keita, parti dans un débordement de funambule (13e), et même Makoun, sur un corner de Cabaye (17e), avaient déjà approché les buts de Sorrentino.

Changement de plan

Rafael était parti s’échauffer mais c’est Bodmer, capable de se muer en défenseur central, qui prit la relève – avec sérénité – dans l’axe à côté de Plestan. Le baptême des deux hommes aurait pu tourner court : sur l’action consécutive à l’expulsion, Chalmé fit tomber Hetemaj en plein coeur de la surface, devant un M. Bennett impassible mais un stade révolté (23e)… Dès lors, la situation n’était évidemment plus la même. Mais si les Grecs jouaient haut, ils ne se procuraient pas pour autant une flopée d’occasions. Bodmer dut intervenir sur un ballon chaud (29e), tandis que Dellas tentait sa chance de près de 40 mètres, sans être ridicule (39e). Les Lillois, eux, avaient forcément modifié leur façon de fonctionner : Odemwingie redescendait chercher les ballons, tandis que Keita tentait sa chance dans des angles compliqués.
Après la pause, Lorenzo Serra Ferrer fit entrer Kapetanos pour tenter de profiter de la supériorité numérique de son équipe. La volonté des joueurs de l’AEK de sortir offrit plus d’espaces aux Lillois, ce dont profita Keita pour s’enfuir seul côté droit, mais le centre de l’Ivoirien ne trouva pas Odemwingie, gêné dans la surface (54e). Au fil des minutes, la pression s’accentua sur la cage de Sylva, pour le moins sollicité : Zikos, d’abord, sur une frappe sans vice (62e), puis Tozser, dont le centre fuyant méritait d’être légèrement dévié (65e), butèrent sur le Sénégalais. Cela ressemblait alors à une attaque-défense et ce n’était pas vraiment ce pourquoi les Lillois avaient fait le voyage.
Il leur a donc fallu s’adapter, et s’appuyer sur un schéma classique de contre-attaque. Sur l’une d’elle amorcée par Cabaye, Keita mystifia Moras en bout de course, ouvrit son pied face à Sorrentino mais dut observer son ballon être dévié de justesse en corner par Georgeas (69e). Le tournant du match car, quelques instants plus tard, Liberopoulous trouva enfin la faille, plein axe, faisant bouillir la marmite du stade Olympique (1-0, 74 e).
Le bébé ne pouvait pas plus mal se présenter… L’activité de Cabaye et Debuchy permit néanmoins à Lille de pousser, mais le coup franc du premier s’envola dans les airs (82e). Et, malgré beaucoup de volonté, Les Lillois restèrent le nez à la porte. Il faudra être décisif, dans quinze jours face à Anderlecht à Bollært, pour espérer encore.

La Voix du Nord - 21/11/2006

C’est le momentd’y croire à fond
LIGUE DES CHAMPIONS Une victoire de Lille, ce soir face à Anderlecht, pourrait offrirune qualification historique pour les huitièmes de finale... si Athènes ne gagne pas devant Milan.
Lille, qui reçoit Anderlecht ce soir à Bollaert (20 h 45), n’avait sans doute jamais suscité autant d’espoirs en Ligue des champions. Une qualification – historique – pour les huitièmes de finale est envisageable, dès ce soir si le scénario à Athènes est favorable, mais elle s’était compliquée, la saison passée, dans une configuration identique. Autant dire que, pour Lille, l’objectif est double : gagner, et prouver qu’il a grandi.
PAR ANTOINE PLACER

Avec six points récoltés en 2001 et 2005, lors des précédentes campagnes de C 1, les Lillois n’ont jamais réussi l’exploit de franchir la phase de groupes de la Ligue des champions. Les freins étaient psychologiques et techniques, mais ils se sont estompés avec le temps : vainqueurs de Manchester la saison passée (1-0), abonnés des podiums en L 1 et à la hauteur du Milan AC en septembre (0-0), les joueurs de Claude Puel ont abattu certaines barrières mentales, au point d’avoir enfilé, dès le tirage au sort du mois d’août, le costume d’un candidat crédible à la deuxième place de la poule H.
Leur parcours en C 1 depuis septembre est conforme à ce que l’on pouvait espérer d’eux, si l’on excepte ce point perdu à Athènes à dix contre onze. Avec déjà quatre buts marqués, ils se sont clairement affranchis de leurs limites de la saison passée, en même temps qu’ils voyaient éclore le potentiel ravageur des Keita, Odemwingie et Bodmer.

« On est programmés pour ça »

Si Lille n’est plus l’équipe timide de la saison passée, elle se présente pourtant dans une configuration similaire au matin de la cinquième et avant-dernière journée du groupe : elle compte cinq points, accueille son adversaire le plus populaire dans la région (Benfica la saison dernière), et sait que le dernier voyage, à Milan, serait plus agréable s’il était dénué de tout enjeu mathématique (Villarreal en décembre).
À ce petit jeu, les Dogues n’avaient récolté qu’un point au Stade de France avant de se prendre les pieds dans le tapis du Madrigal (0-1) et voir s’évaporer les rêves de huitièmes. « On peut faire une grande partie du chemin sur ce match à domicile, a convenu Claude Puel hier soir.
On a cette possibilité par rapport à la saison dernière. Mais s’il faut aller faire un résultat à Milan début décembre, on tentera le coup, car on est programmés pour ça. » Bollaert, à guichets fermés pour la première fois, a compris que la soirée serait longue et passionnante, car il faudra tendre l’oreille jusqu’à Athènes pour savoir si le ticket lillois est oblitéré (lire ci-contre). Anderlecht, qui arrive sans gardien titulaire et sans autre espoir que de continuer à y croire, a laissé des plumes à La Gantoise (1-2), ce week-end, sa deuxième défaite seulement en championnat. Et l’on se souvient que Lille avait accroché le champion belge, chez lui en septembre (1-1), en ayant joué une période sur deux. « Sur ce que j’ai vu de cette équipe, elle méritait de ramener un point de Milan, glisse Puel. Ils ont peut-être une maîtrise technique moins affirmée que l’AEK, mais ils possèdent de meilleures individualités, surtout devant. À l’aller, on avait été un peu surpris par l’engagement en coupe d’Europe, cette fois il faudra tout de suite être dedans. »

Digne d’un grand stade

La vie récente du LOSC participe au décor de l’histoire : invaincus en championnat depuis sept matchs et installés sur le podium juste derrière Lyon, le modèle français, les Lillois savent depuis vendredi soir et le vote de LMCU qu’un stade moderne devrait bientôt pousser à Villeneuve-d’Ascq et Lezennes. Un stade de 55 000 places digne d’une équipe pouvant se glisser dans le cercle des seize meilleures formations européennes.

là je regarde Arsenal-Hambourg, et le but de Van der Vaart est magnifique!! une belle frappe enroulée à l'entrée de la surface qui termine en lucarne! un bijou!

et lyon méne 1-0.....

Ouverture du score de Carew. Le Norvégien gagne un duel puis s'enfonce vers la surface et bat Casillas d'un tir du droit en résistant au retour d'Helguera.

Malouda devance la défense madrilène pour marquer de façon peu académique sur un long coup franc de Juninho! 2-0!

Lille 1-0 Anderlecht

Lille ouvre le score par l'intermédiaire d'Odemwingie. Le Nigérian chipe le ballon dans les pieds de Deschacht. Fauvergue le récupère et centre en retrait dans les six mètres pour son compère d'attaque qui marque à ras de terre, à bout portant.

diarra réduit le score pour madrid 1-2....

Réduction du score de Diarra. Le Malien se jette bien pour catapulter le ballon au fond des filets d'une tête puissante suite à une remise de Van Nistelrooy.

Anderlect revient à la marque grâce à une réalisation de Mpenza. Le Belge hérite du ballon à l'entrée de la surface et trompe Sylva de près. Le cuir percute le poteau avant d'entrer dans les filets.

1-1

WOUAH!!!!!!!! Superbe but de Fauvergue en demie volée!!!!!! Merde..... egalisation....

arsenal qui égalise par van persie!!!!1-1

48 BUT Nicolas Fauvergue redonne l'avantage au LOSC en propulsant le ballon dans la lucarne de Schollen. Après avoir manqué une première fois le ballon, l'attaquant lillois réessaye dans un deuxième temps et fait mouche.

49 BUT Mpenza égalise à nouveau. Après une belle déviation de Tchité, l'attaquant Belge prend de vitesse Rafael et vient tromper Sylva d'une petite pichenette croisée. Les Belges sont une nouvelle fois revenus au score : Claude Puel est furieux !

et fauvergua avait failli de redonner l avantge a son équipe en reprenant un corner de la tête qui est passer juste au dessus!!

superbe but de nakamura sur coup franc a 30 m!!!!!!!
1-10 pour le celtic devant manchester!

arsenal méne 2-1 face a hambourg but d éboué

3-1 pour Arsenal face à Hambourg, pour avoir vu le match, je peux vous dire que c'était un super match! déjà un superbe but de van der vaart, une belle domination de Arsenal, malgré quelques cafouillages sur les rares offensives allemandes, Fabregas manque d'inscrire le but de l'année, une frappe lobée de 40 mètres qui s'écrase sur la transversale! Victoire donc méritée pour les gunners, avec un Henry qui n'était pas au mieux dans ce match!

Quel match de john carew face à madrid ! Dommage que les lyonnais n'ont pas pu préserver le score. van nistelrooy quel *****, il en a bien rajouté sur la soi disante faute de cris et il a été bien puni en ne marquant pas le pénalty

Dommage pour Lille, ça va être dur pour la qualification!

Je suis agréablement surpris par le match de Carew! Tres impressionnant le grand John!!!!!!

La Voix du Nord - 22/11/2006

Pour Lille, l’histoire n’a pas tourné rond
LIGUE DES CHAMPIONS En ne réalisant pas mieux qu’un nul devant Anderlecht, hier à Bollaert (2-2), les Lillois ont fortement compromis la qualification en huitièmes de finale
Tenu en échec par Anderlecht à Bollaert (2-2), le LOSC a manqué une occasion de se rapprocher de la qualification pour les huitièmes. Pire, il s’est compliqué la tâche avant de se rendre à Milan, puisque le géant italien est tombé à Athènes (0-1), ce qui rend la troisième place du groupe H, ce matin, aux Lillois. Dur, dur.
PAR ANTOINE PLACER
Il y a des soirs où l’histoire se révèle capricieuse. Elle s’est offert ce luxe, hier soir, au cours d’un match enlevé et très spectaculaire, que le LOSC n’a malheureusement pas réussi à faire pencher de son côté.
Deux fois, les Lillois ont pris l’avantage, mais deux fois, ils se sont laissé rejoindre par le champion belge, très tranchant dans les trente derniers mètres. Le scénario s’est donc franchement compliqué. Il faudra être capable de ramener un point de San Siro, le 6 décembre, devant un AC Milan déjà qualifié, et compter sur un résultat d’Anderlecht devant Athènes.
Bref, la facilité n’aura pas sa place dans l’épilogue qui se dessine, pas plus qu’elle ne l’avait eu à Villarreal, il y a un an. Mais tant qu’il y a de l’espoir…

Pressing payant

Lille, hier soir, s’était pourtant attaché à écrire l’histoire dans le bon sens, et ce malgré l’enjeu et des conditions climatiques ayant sérieusement détérioré l’état du terrain. Au milieu, la technique d’Hassan a d’emblée posé pas mal de problèmes aux Lillois, ainsi que la vivacité de Tchite et M’Penza devant. En réalité, il fallut une bonne quinzaine de minutes pour que le bloc lillois prenne forme. Quinze minutes, ce fut également le temps de rodage de Keita, le détonateur lillois. L’Ivoirien offrit un premier ballon dangereux à Odemwingie, mais le Nigérian le croqua (12e).
Le jeu lillois, à cet instant, aurait sans doute mérité d’être plus patient, plus maîtrisé. Hassan, au terme d’un splendide une-deux avec Goor, passa même à deux doigts du refroidissement en tirant directement sur Sylva (15e).
Pourtant, le pressing effréné des Lillois allait finir par payer : sur un ballon gratté par Odemwingie le long de la ligne de corner et qu’il convertit lui-même après un relais avec Fauvergue (1-0, 28e). Somptueux. Seulement, les joueurs de Claude Puel eurent la mauvaise idée de ne pas tenir jusqu’à la pause ce court avantage : une interception manquée de Rafael profitait à M’Penza qui, malgré les gants de Sylva, trouvait le poteau et l’égalisation (1-1, 38e). Il y avait de quoi enrager.
La frustration semblait partie pour être le thème de la soirée : à peine de retour des vestiaires, les Lillois trouvaient le moyen de reprendre rapidement l’avantage sur un exploit de Fauvergue, décidément en réussite face à Anderlecht (2-1, 47e), et de faire fondre leur avance sur une nouvelle erreur de la défense lilloise, Rafael étant distancé par Mpenza (2-2, 48e).

Le sort s’acharne

Deux buts encaissés, c’était déjà presque autant que depuis le début de la compétition. Une tête de Fauvergue (50e), une frappe d’Odemwingie (60e) mais surtout un lob de Keita venant échouer sur la transversale (64e) eurent l’avantage de maintenir l’espoir à flots. Comme sur cette action où Debuchy sembla être balancé en pleine surface, sans réaction de l’arbitre (67e)… Le sort s’acharnait, d’autant que Bodmer manqua lui aussi de transformer un ballon en or (75e). Lille tentait d’amener le plus de ballons possibles devant Schollen, mais Anderlecht parvenait à plier sans rompre, malgré l’expulsion de Van Dam (87e).
Et tandis que l’AEK se découvrait une passion pour la victoire en C 1, les Lillois, eux, payaient sur la fin leur énorme débauche d’énergie de la première période. Frustrant.

Bordel, fait c**** pour les lillois.
mais il y a moyen de ramener quelque chose de Milan

EAG1973 a écrit:

Je suis agréablement surpris par le match de Carew! Tres impressionnant le grand John!!!!!!

+1

Beaucoup de monde à Lyon le voyait fini et le rangeait dans la catégorie des tocards et consorts.

Hier soir, il a fait un match monstrueux, il était partout, à gauche comme à droite, derrière comme devant. Il a enrhumé, humilié Cannavaro de façon ahurissante, ça fait plaisir pour lui. Malheureusement, on juge un homme sur une saison et non sur un match, donc qu'il garde cette mentalité de vainqueur qui lui va si bien.

On ne reviendra pas sur la putain de Van Nistelrooy, ainsi que ses copines Robinhette et Raùlette, dans la famille putasserie, je voudrais les trois.

Seul remord, car jamais rien n'est parfait aura été le manque de réalisme...

J'ai 2 faits marquants pour ceux qui ont vu le match à la télé et qui pourront me confirmer mes dires.

1 - Avez-vous remarquer "comment était" les dégagements de Greg ?

2- Van Nistelrooy ne serait-il pas très légèrement hors-jeu sur le but égalisateur ?

Je prépare comme promis un ptit top du déplacement .

Ah, quel dommage pour Lyon! Super match de Carew!! Ils méritaient peut etre la victoire mais les madrilènes non rien lachés.... ils ont évités le pire quand Coupet a arreté le but

Pour Lille, ca va etre difficile...

bordeaux méne 3-0 face a galatasaray